Le 30 août n’était pas seulement marqué par la réédition de Definitely Maybe mais aussi par la parution de Wild God, le nouvel album de Nick Cave & the Bad Seeds. Si je l’ai évidemment acheté, je n’ai pas, depuis hier matin, pris le temps de l’écouter. Ce n’est pas un disque auquel j’ai envie de simplement jeter une oreille, pas un disque que je veux prendre à la légère.
L’occasion tout de même de rappeler que le changement de son, d’ambition dans la discographie des Bad Seeds est en grande partie due à l’émergence en leur sein du formidable Warren Ellis et que celui-ci, aussi workaholic que son leader et meilleur ami Nick Cave, entre deux bandes originales et travaux divers a trouvé le temps de reformer son ancien groupe, Dirty Three, pour publier un nouvel album en ce début d’année.
Je ne savais à quoi m’attendre en achetant Love Changes Everything, n’avait pas de grandes espérances. Soit la meilleure disposition d’esprit pour accueillir une bonne surprise. Et la surprise fut magnifique. Six instrumentaux qu’on jurerait improvisés. D’une beauté, même dans les passages bruitistes, à couper le souffle. Coup de coeur.
Love Changes Everything
Dirty Three
Bella Union 2024
01 - I
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06 - VI
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