Avec le confinement, on a failli rater la Saint Patrick... on a dû courir au Monoprix mardi matin avant le branle-bas de combat de midi pour s’acheter des Guinness... qu’on a trouvé qu’en bouteilles en verre... c’était bon quand même...
Pour se faire pardonner ce presqu’oubli, avec du retard, un billet sur un album du plus grand groupe irlandais de tous les temps (j’ai pas dit le meilleur, j’ai dit le plus grand, au sens de celui qui a eu le plus de succès, qui a vendu le plus de disques et de billets de concert, qui a fait le plus d’évasion fiscale malgré des discours ouvertement alter-mondialistes) : The Unforgettable Fire de U2 (prononcer hue deux).
Un album que j’avais acheté quand j’avais 16 ou 17 ans - mon meilleur copain de l’époque était fan... - revendu vers 19, racheté il y a une dizaine d’années... étrange relation que la mienne avec la bande à Jean... Bono... excellente plaisanterie...
Natacha me trouve souvent trop dur dans mes billets, dit que j’y vais trop fort... elle m’a un peu reproché d’avoir été méchant avec les Doors l’autre jour - c’est elle qui avait voulu acheté des disques des Portes... essayons donc d’être plus cool avec U2 et The Unforgettable Fire.
La raison (l’unique) pour laquelle j’ai racheté cet album, c’est parce A Sort of Homecoming n’apparaît pas sur le best-of du groupe, acheté avec Natacha peu avant. C’est une chanson objectivement pas terrible mais que je ne peux m’empêcher d’aimer - l’amour a ses raisons... bla-bla-bla .
L’album donc commence parfaitement pour moi, surtout que Pride (plus connue sous le nom de In the Name of Love), single plus qu’efficace suit immédiatement. Voilà pour le cool... Seul problème, il reste 8 chansons sur l’album... Et 8 chansons, parfois, c’est long.
La raison (l’unique) pour laquelle j’ai racheté cet album, c’est parce A Sort of Homecoming n’apparaît pas sur le best-of du groupe, acheté avec Natacha peu avant. C’est une chanson objectivement pas terrible mais que je ne peux m’empêcher d’aimer - l’amour a ses raisons... bla-bla-bla .
L’album donc commence parfaitement pour moi, surtout que Pride (plus connue sous le nom de In the Name of Love), single plus qu’efficace suit immédiatement. Voilà pour le cool... Seul problème, il reste 8 chansons sur l’album... Et 8 chansons, parfois, c’est long.
En parlant de 8, pour ceux qui se poseraient la question : non, la huitième plage n’est pas une reprise de Michel Dassin. Chanson, celle de Joe que j’appelle Michel, qui est elle-même, je le rappelle, une reprise d’un titre écrit par Toto Cutugno.
En attendant, il n’y a plus de bières à la maison, va falloir repasser au pommeau...
En attendant, il n’y a plus de bières à la maison, va falloir repasser au pommeau...
The Unforgettable Fire
U2
Island Records 1984
01 - A Sort of Homecoming
02 - Pride
03 - Wire
04 - The Unforgettable Fire
05 - Promenade
06 - 4th of July
07 - Bad
08 - Indian Summer Sky
09 - Elvis Presley and America
10 - MLK
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