Oui. Encore.
Je l’ai déjà dit, je le répète - je me répète souvent, n’en tenez pas compte, c’est à moi-même que je parle, je me répète beaucoup ce que j’essaie de me faire rentrer dans le crâne ; mon cerveau, parfois, est une véritable passoire - ce blog n’a pas pour sujet la musique mais les disques et leur collection. Et toute collection est une obsession ou une somme d’obsessions.
Je l’ai déjà dit, je le répète - je me répète souvent, n’en tenez pas compte, c’est à moi-même que je parle, je me répète beaucoup ce que j’essaie de me faire rentrer dans le crâne ; mon cerveau, parfois, est une véritable passoire - ce blog n’a pas pour sujet la musique mais les disques et leur collection. Et toute collection est une obsession ou une somme d’obsessions.
Plutôt que de convoquer les vieux souvenirs de l’acquisition de mes trop nombreux disques d’Oasis, des Smashing Pumpkins, des Stereophonics (ceux-là sont vraiment trop nombreux) ou autres, pourquoi, pour parler de cette obsession, ne pas s’appuyer sur l’exemple le plus récent, le plus présent, Kula Shaker ?
Collectionner les disques, à l’ère d’internet (celui de la fibre et de l’ADSL, je ne parle pas de l’époque du 56k où les possibilités restaient limitées), de Rakuten, d’Amazon, de Discogs, d’eil etc. est devenu facile. Très facile. Trop facile ? Bien moins amusant. Il manque l’excitation de la recherche, de la découverte, la surprise, la frustration.
Si j’avais connu Kula Shaker il y a 20 ou 23 ans, j’aurais probablement eu ce disque promo de Tattva en cadeau pour l’achat de l’album K. Ou, sans même savoir qu’il existe, je serais tombé dessus dans un magasin de disques d’occasion ou lors d’une convention du disque. Peut-être, au contraire, n’en aurais-je jamais entendu parler... Là, il m’a suffi de trois clics pour tomber dessus et le commander pour atteindre le montant minimum requis pour bénéficier d’une promotion.
Collectionner les disques, à l’ère d’internet (celui de la fibre et de l’ADSL, je ne parle pas de l’époque du 56k où les possibilités restaient limitées), de Rakuten, d’Amazon, de Discogs, d’eil etc. est devenu facile. Très facile. Trop facile ? Bien moins amusant. Il manque l’excitation de la recherche, de la découverte, la surprise, la frustration.
Si j’avais connu Kula Shaker il y a 20 ou 23 ans, j’aurais probablement eu ce disque promo de Tattva en cadeau pour l’achat de l’album K. Ou, sans même savoir qu’il existe, je serais tombé dessus dans un magasin de disques d’occasion ou lors d’une convention du disque. Peut-être, au contraire, n’en aurais-je jamais entendu parler... Là, il m’a suffi de trois clics pour tomber dessus et le commander pour atteindre le montant minimum requis pour bénéficier d’une promotion.
Au moins, ceci m’éclaire sur le moteur de ma collection. J’en apprends sur moi-même. Ce n’est pas le plaisir de la recherche mais bien celui de la possession et de l’accumulation qui me motive... ça perd de son charme, vous disais-je. Mais on ne se refait pas pour autant - je n’en ai pas l’intention.
Tattva
Kula Shaker
Columbia 1996
01 - Tattva
02 - Tattva on St. George’s Day
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