J'espère qu'avant aujourd'hui, Natacha ou moi, l'un de nous deux aura pensé à (et pris le temps d') encoder notre dernier achat en date, commandé il y a une huitaine de jours et reçu samedi dernier, K, premier album de Kula Shaker, sorti en 1996.
En effet, nous prenons la une voiture cet après-midi, direction Limoges, pour l'anniversaire de la maman de Natacha à qui je souhaite ici aussi - même si je ne crois pas qu'elle soit lectrice de Disco MLM - un très bon anniversaire. Je veux absolument - et je suis certain que Natacha aussi - écouter K durant le trajet. Nous ne pouvons plus nous passer de K ni de Kula Shaker.
Je suis désolé d'insister, d'avoir l'air complètement obsédé (je le suis), mais j'ai besoin et envie de le dire encore une fois (et ce ne sera certainement pas la dernière) : mon meilleur achat de l'année sera à coup (quasi) sûr le single Hush. La chanson titre, débordante d'énergie, est un véritable remède à toute maladie, il est impossible de ne pas en ressortir ragaillardi. Comme si ce n'était pas suffisamment, les deux faces B, Raagy One et Under the Hammer sont excellentes. La première, d'une construction couplet / refrain / solo / refrain / coda instrumentale assez étrange, explore le côté planant de Kula Shaker tandis que la seconde donne un assez bon aperçu de l'impressionnant mur de guitares que la bande de Crispian Mills est capable de bâtir. Quant au live de Govinda qui conclut ce quatre titres, il touche à la magie, je peux l'écouter en boucle sans me lasser - ce n'est pas pour rien que la chanson est basée sur un mantra...
Avec un single aussi parfait, impossible de ne pas vouloir acheter l'album. Hush étant un single hors album, j'ai acheté K, le premier, le plus réputé et, surtout, celui qui contient à la fois Govinda (évoquée plus haut) et Grateful when you're Dead que Natacha connaissait déjà grâce à une compilation...
Avouons-le, K est une déception. Car K n'est qu'un... excellent album. K, de plus, semble s'améliorer à chaque écoute (et j'en ai quelques-unes au compteur, j'en aurai encore plus au moment où vous lirez ces lignes, c'est sûr). K cependant n'est pas aussi fou, radical et jusqu'au-boutiste que je l'espérais. Certains morceaux (excellents, j'insiste) comme Hey Dude ou Into the Deep, passé l'habillage hindouisant, restent des chansons assez normales. Un album gorgé de Govinda (un single dont le texte est en sanskrit) de Tattva (à nouveau, un single dont le refrain est en sanskrit) ou de Raagy One (citée plus haut mais non présente sur l'album) aurait peut-être été indigeste mais c'est quelque part ce que j'escomptais... Il faut le reconnaître, mes attentes étaient telles qu'il était impossible que le disque soit à la hauteur.
Il n'en est pourtant pas loin... sans arrêt, il faut que je l'écoute, cet album. Encore. Et encore. De bout en bout. Le dernier album a m'avoir fait une telle impression est Slowdive, dont j'ai déjà parlé...
Pourquoi nous a-t-il fallu plus de 20 ans pour découvrir ce disque alors que Natacha et moi, l'un et l'autre, connaissions parfaitement l'existence de Kula Shaker ?
Bref, j'en garde pour plus tard, il y a des chances non négligeables que j'achète (beaucoup ?) de Kula Shaker dans les semaines et mois à venir...
PS : Mardi soir, quelques heures après que j'ai écrit ce billet (je prends de l'avance, nous ne sommes pas là ce week-end), Natacha a encodé l'album. Le trajet s'annonce excellent...
Avec un single aussi parfait, impossible de ne pas vouloir acheter l'album. Hush étant un single hors album, j'ai acheté K, le premier, le plus réputé et, surtout, celui qui contient à la fois Govinda (évoquée plus haut) et Grateful when you're Dead que Natacha connaissait déjà grâce à une compilation...
Avouons-le, K est une déception. Car K n'est qu'un... excellent album. K, de plus, semble s'améliorer à chaque écoute (et j'en ai quelques-unes au compteur, j'en aurai encore plus au moment où vous lirez ces lignes, c'est sûr). K cependant n'est pas aussi fou, radical et jusqu'au-boutiste que je l'espérais. Certains morceaux (excellents, j'insiste) comme Hey Dude ou Into the Deep, passé l'habillage hindouisant, restent des chansons assez normales. Un album gorgé de Govinda (un single dont le texte est en sanskrit) de Tattva (à nouveau, un single dont le refrain est en sanskrit) ou de Raagy One (citée plus haut mais non présente sur l'album) aurait peut-être été indigeste mais c'est quelque part ce que j'escomptais... Il faut le reconnaître, mes attentes étaient telles qu'il était impossible que le disque soit à la hauteur.
Il n'en est pourtant pas loin... sans arrêt, il faut que je l'écoute, cet album. Encore. Et encore. De bout en bout. Le dernier album a m'avoir fait une telle impression est Slowdive, dont j'ai déjà parlé...
Pourquoi nous a-t-il fallu plus de 20 ans pour découvrir ce disque alors que Natacha et moi, l'un et l'autre, connaissions parfaitement l'existence de Kula Shaker ?
Bref, j'en garde pour plus tard, il y a des chances non négligeables que j'achète (beaucoup ?) de Kula Shaker dans les semaines et mois à venir...
PS : Mardi soir, quelques heures après que j'ai écrit ce billet (je prends de l'avance, nous ne sommes pas là ce week-end), Natacha a encodé l'album. Le trajet s'annonce excellent...
K
Kula Shaker
Columbia 1996
01 - Hey Dude
02 - Knight on the Town
03 - Temple of Everlasting Light
04 - Govinda
05 - Smart Dogs
06 - Magic Theatre
07 - Into the Deep
08 - Sleeping Jiva
09 - Tattva
10 - Grateful when you're Dead / Jerry was There
11 - 303
12 - Start All Over
13 - Hollow Man ( Part 1 & 2)
3 commentaires:
🙏💕🕉
Namasté
Je n'ai jamais autant détesté la voix du GPS... oser parler par dessus Tattva...
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