Il n’existe pas de recette. Ou, s’il en existe une, il reste toujours un ingrédient mystère qui fait que la recette sera un succès ou non.
Liberetto II reprend les mêmes ingrédients que Liberetto, album que je trouve merveilleux. Même contrebassiste-compositeur principal, même génie du piano (j’ai récemment vu un extrait de concert de Tigran où il jouait sur plusieurs claviers à la fois, avec des pédales de distorsion et des séquenceurs pour faire des boucles, c’était incroyable...), même guitariste, même batteur, oeuvre du même artiste pour la couverture. J’ai acheté Liberetto II peu de temps après Liberetto, quelques semaines ou mois tout au plus, sans même l’écouter auparavant, certain d’y entendre la même magie que sur Liberetto.
L’album est beau. L’album est bon. Mais il me manque quelque chose. Quelque chose que je ne peux expliquer. Je ne saurais même pas dire ce qu’il manque. Un ingrédient mystère qui fait que l’on plonge dans une oeuvre ou que l’on reste en dehors, à côté... et, avec ce Liberetto II, j’ai l’impression de rester sur la touche... même le tableau de Martin Noël choisi pour ce numéro II me semble moins bon que celui qui illustre Liberetto.
Liberetto II
Lars Danielsson
ACT 2014
01 - Grace
02 - Passacaglia
03 - Miniature
04 - Africa
05 - I Tima
06 - II Blå
07 - III Violet
08 - Swedish Song
09 - Eilat
10 - View from the Apple Tree
11 - The Truth
12 - Beautiful Darkness
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