Sonic Youth n’étant visiblement plus de mon âge - je ne suis, effectivement, plus tout jeune - je me suis, aussitôt Daydream Nation achevé, mis à la recherche de quelque chose de plus calme, de plus pop pour me détendre. Cette recherche m’a amené à Regeneration de The Divine Comedy, acheté en 2001 à la suite d’une critique dithyrambique dans Rock & Folk et quelques semaines avant un concert du groupe à La Laiterie à Strasbourg.
J’ai été déçu. Perfect Lovesong mérite toujours autant son titre. Timestretched est une formidable entrée en matière. La triplette de fin Mastermind / Regeneration / The Beauty Regime est absolument exceptionnelle. Mais je n’ai pas pris autant de plaisir qu’espéré. Je ne suis pas rentré dans l’album. Déjà fatigué, éreinté, blasé, épuisé, déprimé… pas dans le bon esprit pour écouter de la musique ce mercredi après-midi. On réécoutera Regeneration plus tard, bientôt peut-être. Et pour vérifier, peut-être Daydream Nation aussi.
Regeneration
The Divine Comedy
Parlophone 2001
01 - Timestretched
02 - Bad Ambassador
03 - Perfect Lovesong
04 - Note to Self
05 - Lost Property
06 - Eye of the Needle
07 - Love what you Do
08 - Dumb it Down
09 - Mastermind
10 - Regeneration
11 - The Beauty Regime
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