On a (re)vu Black Swan, l’autre soir. Le lendemain, à Monoprix, il n’y pas de coïncidence, j’ai trouvé Diapason accompagné de ce (double) disque d’enregistrements de Schubert avec cette superbe illustration de couverture due à Walter Crane, un artiste briton fin XIXème. Impossible de résister.
Je n’ai pas encore écouté. Ça ne s’écoute pas n’importe comment. Les conditions n’ont pas encore été réunies. Pas à mon goût. D’autant que je l’avoue, je ne suis pas rassuré. L’octuor, j’ai peur que ce soit indigeste (le septuor de Beethoven supposé être un modèle pour cet octuor ne m’a guère emballé quand j’en ai emprunté un enregistrement à la médiathèque). Les lieder, je les aime par Matthias Goerne… qu’en sera-t-il par Dietrich Fischer-Dieskau ? Quant à la messe…
J’ai pris le temps de lire le magazine en revanche. En partie en tout cas. Et je reste plus que déstabilisé par cet aphorisme d’un compositeur à propos de la sédentarité de Schubert (il n’a presque jamais quitté Vienne) : On n’a pas besoin du monde lorsqu’on en est le centre. Je médite.
Messe n°6 - Octuor - Le Chant du Cygne
Franz Schubert
Diapason 2021
CD1
01-06 - Messe n°6 en mi bémol majeur, D950
07-13 - Schwanengesang (Le Chant du Cygne), D957
CD2
01-07 - Schwanengesang (Le Chant du Cygne), D957
08-13 - Octuor en fa majeur, D803
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