C’est papa-maman (étrange comme dire papa-maman est plus naturel que maman-papa… contre toutes les règles de politesse et de galanterie… ça doit être ce qu’on appelle le patriarcat) qui m’ont offert le petit coffret (très belle boîte, un texte de présentation assez long mais en allemand) de deux vinyles (en excellent état) compilant littéralement « Ses Chefs-d’œuvre dans de Magistrales Interprétations » du compositeur tchèque Antonín Dvořák. Ils l’ont acheté à Karlsruhe, un petit autocollant doré avec le logo et l’adresse du magasin se trouve encore sur l’étiquette centrale d’un des disques.
Je réécoute ce mardi soir ces quatre faces tout en essayant d’être un peu productif. Je tape des conneries à la machine - rien de bien n’en sort. J’écris ce billet. J’écrirai juste après les billets pour Archives de jeudi et vendredi. Je suis las las las las las - déjà. Le coffret me rassure, je suis en terrain très familier. L’Ouverture du Carnaval. La Sérénade op. 22. Je connais tout ça par coeur. Et la Symphonie du Nouveau Monde (on remarquera que le coffret ne tranche pas entre les numéros 9 et 5 qui lui sont tout à tour attribués) bien entendu. Trois à cinq secondes - je n’ai pas chronométré - de celle-ci servent de sonnerie au collège de Boussac.
Seine Meisterwerke in meisterhafter Interpretation
Antonín Dvořák
Decca 1977
A1 - Karneval, op. 92, Ouvertüre
A2 - Du lieber Mond, so silberzart
A3 - Scherzo Capriccioso, op. 66
B - Serenade E-dur, op. 22
C - Symphonie Nr. 9 (5) e-moll, op. 95 (adagio - allegro molto ; largo ; scherzo. molto vivace)
D1 - Symphonie Nr. 9 (5) e-moll, op. 95 (allegro con fuoco)
D2-D4 - Slawische Tänze Nr. 1, Nr. 10, Nr. 8
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