De Graceland, je ne croyais en savoir que ce que j’avais lu à son propos. Album de Paul Simon enregistré au milieu des années 80 en Afrique du Sud encore soumise à l’Apartheid, album pionnier de la world music « moderne » (les guillemets sont de moi), chef-d’œuvre créatif voire renaissance artistique selon de nombreux critiques. Tout ça ne m’inspirait guère que de nombreux a priori… mais je m’étais dit que je lui laisserais une chance un jour. Ce jour fut mercredi, j’ai acheté le disque en même temps que le Traffic, ils étaient dans le même bac.
Tout ce que je craignais fut malheureusement vérifié. C’est du Johnny Clegg à peine amélioré. Et il se trouve qu’en plus, je connaissais un des morceaux : You can Call me Al, j’étais donc prévenu d’une certaine façon. Le disque n’est pas prêtre de repasser sous le diamant.
Au moins, la pochette est sympa, je travaillerai peut-être, un jour, ce ca(che?)valier.
Graceland
Paul Simon
Warner Bros. 1986
A1 - The Boy in the Bubble
A2 - Graceland
A3 - I Know what I Know
A4 - Gumboots
A5 - Diamonds on the Soles of her Shoes
B1 - You can Call me Al
B2 - Under African Skies
B3 - Homeless
B4 - Crazy Love, Vol II
B5 - That was your Mother
B6 - All Around the World or The Mytho of Finferprints
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