Je suis dans une de mes périodes Nick Cave, j’enchaîne ses albums, parfois plusieurs fois à la suite. Je me force un peu tout de même à passer d’autres disques d’autres artistes, comme une pause ou quelque chose qui y ressemble. La faute à son livre d’entretien - je l’aurai fini, fini de le lire au moment où vous lirez ces lignes - dont je ne sais s’il a un intérêt pour celui qui j’admire pas l’Australien, je crois que si - peu m’importe, Nick Cave est pour moi un modèle ; parmi d’autres, je me sens obligé de préciser.
Hier soir, après un épisode de The Good Fight, je me suis remis au travail, j’ai essayé. Malgré ce que j’avais écrit sur les Portes dans la soirée, je me suis mis un fond sonore, choisi Idiot Prayer, étrange album live enregistré sans public, pendant un des confinements covideux, Nick seul au piano revisitant tout son répertoire, des passages obligés à quelques raretés, en passant par Grinderman qu’on attendait pas forcément dans cette configuration. À la moitié du premier disque, j’ai arrêté le travail et j’ai simplement écouté. Le second disque, j’ai attendu ce matin pour en profiter.
Idiot Prayer
Nick Cave
Bad Seed Ltd.
CD1
01 - Spinning Song
02 - Idiot Prayer
03 - Sad Waters
04 - Brompton Oratory
05 - Palaces of Montezuma
06 - Girl in Amber
07 - Man in the Moon
08 - Nobody’s Baby Now
09 - (Are You) The One That I’ve Been Waiting For ?
10 - Waiting for You
11 - The Mercy Seat
12 - Euthanasia
CD2
01 - Jubilee Street
02 - Far from Me
03 - He Wants You
04 - Higgs Boson Blues
05 - Stranger than Kindness
06 - Into my Arms
07 - The Ship Song
08 - Papa Won’t Leave You, Henry
09 - Black Hair
10 - Galleon Ship
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