Je garde en tête le lieu et la date (approximative) de nombre de disques que j’ai achetés. Je me souviens aussi , avec regret, de nombreux endroits où je n’ai pas acheté des disques qui me faisaient envie. Pas plus tard que cette semaine, j’ai regretté de ne pas avoir pris mercredi le premier album de Suicide chez Point Show - samedi, alors que je m’étais enfin décidé, il avait été vendu. À la bourse aux disques de Limoges, il y a quelques semaines, j’ai regretté de ne pas avoir emporté Maybe Tomorrow, Maybe Tonight dont je ne sais rien si ce n’est que la pochette est superbe.
Et puis, en septembre ou octobre dernier, à la fête de l’âne à Séreilhac, j’avais hésité devant les singles de Nirvana en CD. Pas forcément en parfait état. Natacha, constatant mes doutes, m’avait dissuadé : ce ne sont que des CD… en vinyle, pourquoi pas, mais là.
Ce dimanche matin, aux Puces de la Cité, Smells like Teen Spirit était bien en vinyle. 7’’. 45 tours. État excellent. Prix correct. Je n’ai pas hésité une seule seconde.
Je ne collectionne pourtant pas Nirvana… mais mon premier vrai contact (hors la TV et la radio) avec le groupe de Kurt Cobain l’a été pas le coffret des singles extraits de Nevermind et In Utero prêté par un copain de lycée. Il doit encore y avoir chez mes parents la K7 audio sur laquelle j’avais copié la quinze-vingtaine de chansons réparties sur les 5 ou 6 CD du coffret.
Smells like Teen Spirit
Nirvana
DGC / Sub Pop 1991
A - Smells like Teen Spirit
B - Even in his Youth
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