Mercredi dernier, j’ai feuilleté Rock & Folk. J’ai une excuse. J’errais dans l’Intermarché des Cassoces Casseaux, cherchant à user une heure en attendant que se finisse la (deuxième en un an, celle des 40 000) révision de ma voiture, au garage Feu Vert, à deux pas de là.
Le disque du mois du magazine est A Journey That Never Was d’Arthur Satan, un Français qui aime le rock anglais des années 60 et 70 et sait faire sonner sa musique de cette façon. J’ai acheté le CD la semaine suivante, hier donc, chez Point Show. Par curiosité.
C’est effectivement un album qui sonne très anglais, très sixties et seventies, sans pour autant sentir le réchauffé ou le simple copié-collé. Étonnamment pourtant, ça n’a pas soulevé chez moi un enthousiasme démesuré. Je n’ai rien à reprocher - si ce n’est la longueur : 17 chansons, c’est au moins 5 de trop, 66 minutes, c’est 15 à 20 de trop pour ce genre de disques - et pourtant, j’ai trouvé ça bien sans plus. Sans pouvoir m’expliquer davantage. Et si je ne peux m’expliquer… autant m’arrêter là.
Chouette couverture, recto comme verso. Dommage qu’elle ne colle absolument pas à la musique qu’elle renferme… ça fait publicité mensongère.
A Journey That Never Was
Arthur Satan
Born Bad Records 2025
01 - The Death of a King
02 - The Killer
03 - A Cold Morning
04 - Crucify Me
05 - My Valentine
06 - Losing Hand
07 - Loner Perspective
08 - Lovely Suzy
09 - Son of the Atom
10 - After the Night
11 - Glamosaurus Rex
12 - The Farmer / The Soldier
13 - Melatonine 1,9
14 - To Please You All
15 - The Pagan Truth
16 - Life Goes Wrong
17 - It’s Over (The Last Dance)
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