En même temps que le Belle and Sebastian, parmi les six disques qui attendaient mon retour de vacances dans la boîte aux lettres, mon second album - et, spoiler, pas le dernier - de Richard Dawson, Peasant.
J’étais plus préparé que pour End of the Middle, j’ai pu savourer dès la première écoute, sans passer par les moments de doute et d’incompréhension. Au contraire, à ma première écoute complète, j’ai eu envie de rire, de pleurer - même si je n’ai pas tout compris aux textes) bien que j’écoutai le disque le livret à la main) de ce concept-album situant ses personnages dans un royaume disparu il y a 1500 ans - d’applaudir, d’acclamer, de commenter, de chanter à tue-tête…
… mais je me suis retenu. Il était huit heures du matin (ou quelque chose comme ça) samedi, Natacha dormait encore, je ne voulais risquer de la réveiller : j’écoutais au casque - c’est son cadeau d’anniversaire, le cadeau qu’elle m’a fait… merci encore ma chérie, je t’aime - profitant de tous les détails, de toutes les trouvailles et d’autres mots en -aille.
Peasant
Richard Dawson
Weird World 2017
01 - Herald (or ‘The Parent’s Crusade’)
02 - Ogre
03 - Soldier
04 - Weaver (or ‘My Very Ancient Friend’)
05 - Prostitute
06 - Shapeshifter
07 - Scientist
08 - Hob
09 - Beggar
10 - No-One
11 - Masseuse (or ‘The Pin of Quib’)
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