Dimanche soir. Je suis fatigué. Journée chargée. Non, bien occupée plutôt. C’est plutôt de la bonne fatigue. De la fatigue tout de même. Et demain, il faut retourner au bahut… et ça me fatigue d’avance. De la mauvaise fatigue. Bref, je suis las et je n’ai pas envie d’écrire de billet. C’est quand je suis fatigué que mes blogs me semblent le plus vain. Et qu’il me faut trouver des raisons d’écrire un billet. Et la meilleure raison de continuer ce blog est qu’il me force à fouiller ma collection de disques. Et de cette recherche sort souvent un disque que je n’ai pas écouté depuis un petit moment et que je peux écouter d’une oreille certes pas tout à fait neuve mais à peu près fraîche.
Ce soir, c’est Henry’s Dream de Nick Cave and the Bad Seeds que j’écoute à la nuit tombée - il n’est que 18h, c’est déprimant - et qui me redonne un peu d’énergie avec son country-blues-punk-rock échevelé et décadent. J’y puise suffisamment de forces pour écrire un petit texte idiot intitulé Maïs - à découvrir, peut-être, dans quelques mois.
Henry’s Dream
Nick Cave and the Bad Seeds
Mute 1992 / 2010 / ????
01 - Papa won’t Leave You, Henry
02 - I had a Dream, Joe
03 - Straight to You
04 - Brother, my Cup is Empty
05 - Christina the Atonishing
06 - When I First Came to Town
07 - John Finn’s Wife
08 - Loom of the Land
09 - Jack the Ripper

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