2001. Les Strokes ont déboulé avec un premier album formidable Is this it ? que j'adore - je l'ai acheté la semaine de sa sortie et je l'écoute encore régulièrement. Fidèle à ma collectionnite, j'achète tout ce que je trouve (et peux me payer) : singles, cd promo...
L'album est sorti depuis quelques semaines ou quelques mois et la FNAC pour relancer les ventes qui, de manière naturelle, commencent à s'essouffler, décide d'offrir un vinyl 7", 45 rpm de Last Nite pour tout achat de l'album.
Voilà bien le genre d'initiative qui rend à la fois fou et malhonnête le pauvre collectionneur que je suis. Pourquoi les retardataires auraient-ils droit à plus d'égards que les premiers ? On se croirait dans une parabole biblique...
Il y a désormais prescription, je peux avouer mon forfait.
J'ai donc racheté Is this it ?, j'en ai acheté un deuxième exemplaire. Je me suis présenté à l'accueil et ai récupéré le 45 tours. Le hic, c'est qu'en échange du disque, j'ai eu droit à un tampon sur la facture... dès fois que j'ai l'idée de venir chercher un deuxième vinyle (ceci ne m'était en revanche pas venu à l'esprit). Voilà qui contrarie mes plans - pas le meilleur moyen d'obtenir un remboursement.
Que faire à présent ? Comment se faire rembourser ce second exemplaire ?
Il n'y a pas de meilleure défense que l'innocence. Mes parents se rendant en ville deux ou trois jours après, je leur ai confié le disque et la facture, les chargeant de se faire rembourser (éventuellement contre des bons d'achat) sans leur expliquer le problème. Comment ils ont expliqué le tampon sur la facture, comment ils ont négocié avec l'accueil de la FNAC, je n'en ai aucune idée... je me suis fait (un peu) engueuler par ma mère à son retour "tu aurais pu nous prévenir..."
Bref, j'ai mon disque et je n'ai pas eu à dépenser un centime de plus.
La pochette est sympa, sans plus, bien moins engageante que le gant de cuir et le fessier vu de profil sur la pochette de l'album. La photo au dos est médiocre. La face B oubliable - j'ai d'ailleurs effectivement oublié à quoi ressemble la chanson.
J'ai rapidement arrêté de collectionner les disques des Strokes - surtout que le deuxième album était naze.
Voilà bien le genre d'initiative qui rend à la fois fou et malhonnête le pauvre collectionneur que je suis. Pourquoi les retardataires auraient-ils droit à plus d'égards que les premiers ? On se croirait dans une parabole biblique...
Il y a désormais prescription, je peux avouer mon forfait.
J'ai donc racheté Is this it ?, j'en ai acheté un deuxième exemplaire. Je me suis présenté à l'accueil et ai récupéré le 45 tours. Le hic, c'est qu'en échange du disque, j'ai eu droit à un tampon sur la facture... dès fois que j'ai l'idée de venir chercher un deuxième vinyle (ceci ne m'était en revanche pas venu à l'esprit). Voilà qui contrarie mes plans - pas le meilleur moyen d'obtenir un remboursement.
Que faire à présent ? Comment se faire rembourser ce second exemplaire ?
Il n'y a pas de meilleure défense que l'innocence. Mes parents se rendant en ville deux ou trois jours après, je leur ai confié le disque et la facture, les chargeant de se faire rembourser (éventuellement contre des bons d'achat) sans leur expliquer le problème. Comment ils ont expliqué le tampon sur la facture, comment ils ont négocié avec l'accueil de la FNAC, je n'en ai aucune idée... je me suis fait (un peu) engueuler par ma mère à son retour "tu aurais pu nous prévenir..."
Bref, j'ai mon disque et je n'ai pas eu à dépenser un centime de plus.
La pochette est sympa, sans plus, bien moins engageante que le gant de cuir et le fessier vu de profil sur la pochette de l'album. La photo au dos est médiocre. La face B oubliable - j'ai d'ailleurs effectivement oublié à quoi ressemble la chanson.
J'ai rapidement arrêté de collectionner les disques des Strokes - surtout que le deuxième album était naze.
Last Nite
The Strokes
BMG 2001
A - Last Nite
B - When it Started
1 commentaire:
Je me permets de commenter mon propre article...
Je viens de réécouter, par curiosité "When It Started". Je ne m'en souvenais pas du tout... et pour cause... c'est atroce
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