Les plus belles histoires d'amour ne commencent pas toutes par un coup de foudre. Elles peuvent même commencer par une relative indifférence.
Je suis tombé amoureux d'une nouvelle chanson. La première fois que je l'ai entendue, je l'avais trouvée jolie sans plus. Elle était un peu cachée derrière d'autres chansons que je connaissais et aimais déjà. C'est petit à petit qu'elle s'est imposée, sans rien avoir à faire de plus que d'être là, dans toute la beauté de son évidence.
Cold Little Heart sert de générique à Big Little Lies, série à la b.o. impeccable, gorgée d'excellents morceaux, dont je parlais il y a quelques jours (semaines). J'ai toujours trouvé ce générique très réussi mais il m'a longtemps semblé que c'était dû aux superbes images de la côte pacifique américaine. J'ai étrangement mis plusieurs épisodes à me rendre compte que la chanson (ou plutôt les deux minutes qu'on en entend) était elle-même magnifique.
En cherchant sur YouTube, j'ai découvert que la version originale durait plus de dix minutes avec une très longue introduction nappée de soli de guitare et de chœurs éthérés. Je me suis vite mis à essayer de la jouer à la guitare. C'est devenu la première chanson que j'ai su (mal) jouer avant de l'avoir dans ma discothèque...
Cold Little Heart sert de générique à Big Little Lies, série à la b.o. impeccable, gorgée d'excellents morceaux, dont je parlais il y a quelques jours (semaines). J'ai toujours trouvé ce générique très réussi mais il m'a longtemps semblé que c'était dû aux superbes images de la côte pacifique américaine. J'ai étrangement mis plusieurs épisodes à me rendre compte que la chanson (ou plutôt les deux minutes qu'on en entend) était elle-même magnifique.
En cherchant sur YouTube, j'ai découvert que la version originale durait plus de dix minutes avec une très longue introduction nappée de soli de guitare et de chœurs éthérés. Je me suis vite mis à essayer de la jouer à la guitare. C'est devenu la première chanson que j'ai su (mal) jouer avant de l'avoir dans ma discothèque...
Obsédé par cette nouvelle conquête, j'ai acheté l'album Love & Hate à la FNAC Parly 2 le week-end dernier. C'est un album vénéneux. Qui s'insinue en moi petit à petit. Au début, ça me paraissait joli, sympa, très réussi. Je découvre les véritables charmes soul et gospel mais aussi pop et rock, la beauté profonde de ce disque, au fur et à mesure des écoutes... et surtout, je ne peux m'arrêter de l'écouter et de le réécouter, encore et encore... envouté par Falling, par Love & Hate, par I'll Never Love... je suis comme sous l'effet d'un philtre.
Love & Hate
Michael Kiwanuka
Polydor 2016
01 - Cold Little Heart
02 - Black Man in a White World
03 - Falling
04 - Place I Belong
05 - Love & Hate
06 - One More Night
07 - I'll Never Love
08 - Rule the World
09 - Father's Child
10 - The Final Frame
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