Nous rentrons de Limoges aujourd'hui. Qui dit trajet en voiture dit Fip et playlist du téléphone de Natacha. Qui semble bourrée (je parle de la playlist, pas de Natacha) de Led Zeppelin, d'Oasis et d'AC/DC. Impossible d'échapper sur un trajet de trois heures et demie à l'un des trois.
Tomber sans arrêt sur Oasis et Led Zeppelin est normal, Natacha a encodé 4 albums de chacun de ces deux groupes. Les chances sont plutôt élevées que la lecture aléatoire finisse par les choisir, les probabilités l'expliquent parfaitement... Pour les hardeux australo-écossais, c'est statistiquement un peu plus mystérieux, Natacha n'a dans sa playlist qu'un album (certes double), Live (enregistré à Barcelone en 1992). Peut-être après tout n'est ce qu'une impression. Peut-être que les morceaux d'AC / DC ne reviennent pas aussi fréquemment qu'il nous semble.
Je n'ai cependant pas envie d'évoquer un best-of ou un greatest hits, ce à quoi s'apparente Live, le premier disque d'AC / DC que nous ayons (enfin, surtout Natacha) acheté, il y a 5 ou 6 ans. Ce sera donc Back in Black, acheté environ deux ans plus tard. Probablement leur album le plus fameux. À tort ou à raison, je ne saurais dire, je ne connais pas toute la discographie du groupe.
Au-delà de l'image d'Angus Young, génie de la guitare (tendance branleur de manche) habillé depuis quarante ans en costume d'écolier (ce qui, à son âge, commence à devenir vraiment malsain), AC / DC a une réputation de groupe de bourrins pour bourrins. Pour routiers. Pour motards se battant dans les bars. Pour beaufs portés sur la bière et le cul. Et effectivement, des titres aussi explicites que Let me Put my Love into You ou You Shook me all Night Long donnent a priori assez peu envie d'en savoir plus... oui mais voilà... car il y a un mais, bien évidemment... ce n'est pas aussi simple.
AC / DC sont aussi capables de grandes chansons. Oui, chansons. Pas seulement capables d'excellents riffs - ça, on s'en doutait - pas seulement capables de morceaux rigolos sur lesquels pogoter, pas seulement capables de bruit et de fureur : capables de chansons. Des blues, évidemment. Des blues joués à plein volume et criés, éructés plus que chantés, certes. De grands blues tout de même. La chanson titre, Back in Black en est un premier exemple mais ma préférée reste et restera Hells Bells, à la construction parfaite, au riff malin et moins démonstratif qu'à l'accoutumée, au couplet contenu (autant que faire se peut) avant l'explosion du refrain. Un modèle du genre.
Tomber sans arrêt sur Oasis et Led Zeppelin est normal, Natacha a encodé 4 albums de chacun de ces deux groupes. Les chances sont plutôt élevées que la lecture aléatoire finisse par les choisir, les probabilités l'expliquent parfaitement... Pour les hardeux australo-écossais, c'est statistiquement un peu plus mystérieux, Natacha n'a dans sa playlist qu'un album (certes double), Live (enregistré à Barcelone en 1992). Peut-être après tout n'est ce qu'une impression. Peut-être que les morceaux d'AC / DC ne reviennent pas aussi fréquemment qu'il nous semble.
Je n'ai cependant pas envie d'évoquer un best-of ou un greatest hits, ce à quoi s'apparente Live, le premier disque d'AC / DC que nous ayons (enfin, surtout Natacha) acheté, il y a 5 ou 6 ans. Ce sera donc Back in Black, acheté environ deux ans plus tard. Probablement leur album le plus fameux. À tort ou à raison, je ne saurais dire, je ne connais pas toute la discographie du groupe.
Au-delà de l'image d'Angus Young, génie de la guitare (tendance branleur de manche) habillé depuis quarante ans en costume d'écolier (ce qui, à son âge, commence à devenir vraiment malsain), AC / DC a une réputation de groupe de bourrins pour bourrins. Pour routiers. Pour motards se battant dans les bars. Pour beaufs portés sur la bière et le cul. Et effectivement, des titres aussi explicites que Let me Put my Love into You ou You Shook me all Night Long donnent a priori assez peu envie d'en savoir plus... oui mais voilà... car il y a un mais, bien évidemment... ce n'est pas aussi simple.
AC / DC sont aussi capables de grandes chansons. Oui, chansons. Pas seulement capables d'excellents riffs - ça, on s'en doutait - pas seulement capables de morceaux rigolos sur lesquels pogoter, pas seulement capables de bruit et de fureur : capables de chansons. Des blues, évidemment. Des blues joués à plein volume et criés, éructés plus que chantés, certes. De grands blues tout de même. La chanson titre, Back in Black en est un premier exemple mais ma préférée reste et restera Hells Bells, à la construction parfaite, au riff malin et moins démonstratif qu'à l'accoutumée, au couplet contenu (autant que faire se peut) avant l'explosion du refrain. Un modèle du genre.
Back in Black
AC / DC
Leidseplein / Columbia 1980 / 2003
01 - Hells Bells
02 - Shoot to Thrill
03 - What do you do for Money Honey
04 - Givin the Dog a Bone
05 - Let me Put my Love into You
06 - Back in Black
07 - You Shook me all Night Long
08 - Have a Drink on Me
09 - Shake a Leg
10 - Rock and Roll ain't Noise Pollution
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