Les temps sont durs, il faut se remonter le moral. Quoi de mieux que Blondie et son album Parallel Lines pour ça ?
Celui qui ne se sent pas revigoré au bout de trente secondes de Hanging on the Telephone (soit un couplet et un refrain entiers - pas de temps à perdre) doit sérieusement penser à aller consulter - pas de bol, les Urgences sont saturées en ce moment.
Parallel Lines est un album universel. On ne peut pas ne pas aimer Parallel Lines - à moins de ne pas être d’équerre... désolé je n’ai pas trouvé mieux. Car Parallel Lines (comme la musique de Blondie en général) réussit le tour de force de marier l’impossible et ses contraires.
Blondie est en effet un groupe punk new-yorkais qui joue sans ironie ni intellectualisme mais en cravate de la pop apolitique sur une rythmique disco. Ajoutons que la chanteuse du groupe, Debbie Harry, n’a même pas la décence d’être moche et que Blondie s’est payé le luxe (c’est presque une trahison) d’avoir un tube intemporel, Heart of Glass. Bref, en 1978, Blondie avait tout faux et, par conséquent tout juste - tout le mouvement punk est une célébration de la contradiction, non ?
Quarante ans après, Parallel Lines n’a rien perdu de sa fraîcheur - quel mauvais esprit osera insinuer que ce n’est pas le cas de Debbie Harry ? - et continue de donner envie de chanter, danser... vivre... one way or another...
Celui qui ne se sent pas revigoré au bout de trente secondes de Hanging on the Telephone (soit un couplet et un refrain entiers - pas de temps à perdre) doit sérieusement penser à aller consulter - pas de bol, les Urgences sont saturées en ce moment.
Parallel Lines est un album universel. On ne peut pas ne pas aimer Parallel Lines - à moins de ne pas être d’équerre... désolé je n’ai pas trouvé mieux. Car Parallel Lines (comme la musique de Blondie en général) réussit le tour de force de marier l’impossible et ses contraires.
Blondie est en effet un groupe punk new-yorkais qui joue sans ironie ni intellectualisme mais en cravate de la pop apolitique sur une rythmique disco. Ajoutons que la chanteuse du groupe, Debbie Harry, n’a même pas la décence d’être moche et que Blondie s’est payé le luxe (c’est presque une trahison) d’avoir un tube intemporel, Heart of Glass. Bref, en 1978, Blondie avait tout faux et, par conséquent tout juste - tout le mouvement punk est une célébration de la contradiction, non ?
Quarante ans après, Parallel Lines n’a rien perdu de sa fraîcheur - quel mauvais esprit osera insinuer que ce n’est pas le cas de Debbie Harry ? - et continue de donner envie de chanter, danser... vivre... one way or another...
Parallel Lines
Blondie
Chrysalis 1978 - ????
A1 - Hanging on the Telephone
A2 - One Way or Another
A3 - Picture This
A4 - Fade Away and Radiate
A5 - Pretty Baby
A6 - I Know but I Don’t Know
B1 - 11:59
B2 - Will Anything Happening ?
B3 - Sunday Girl
B4 - Heart of Glass
B5 - I’m Gonna Love You Too
B6 - Just Go Away
2 commentaires:
Tu aurais même pu préciser qu’il s’agit d’un de mes disques (préférés)
Je vais pas parler de toi tout le temps... déjà que je dois te parler tout le temps en ce moment...
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