La répartition par genre des disques chroniqués sur ce blog est très déséquilibrée : la catégorie rock / pop / folk (certes assez large mais ce n’est pas une explication suffisante) écrase (et de loin) toutes les autres. Ce déséquilibre reflète assez justement le déséquilibre de ma discothèque : 80 à 90 % des disques se rattachent au rock ou à des types de musique relativement proches.
Une autre, une seconde, explication peut être avancée pour ce déséquilibre : à propos de mes disques de jazz ou mes disques de musique dite classique, j’ai peu d’anecdotes à fournir. La plupart sont d’achat relativement récent après que je les ai découverts à la médiathèque municipale. Pas d’histoire à raconter derrière ces trouvailles.
Enfin, si. Je vais faire un aveu. J’emprunte les disques classiques selon quatre critères d’importance variable : le compositeur, l’interprète, l’instrument et la pochette. Étrangement, c’est ce dernier critère qui est le plus souvent déclencheur d’emprunt. Comme si une belle illustration de couverture était la marque d’un bon goût que ne pourrait renier la musique gravée sur le disque.
D’ailleurs comment expliquer autrement que j’ai emprunté du Shostakovich (Chostakovitch en français ?) alors que la seule invocation de ce nom fait retentir à mes oreilles les kitschissimes valses reprises par André Rieu et une vieille pub pour la CNP ? Je pensais d’ailleurs à tort que le tableau utilisé ici comme illustration était de Malevitch - c’est de Heinrich Hoerle.
Cherchant de quel disque parler aujourd’hui, je suis donc retombé sur ces Œuvres pour Violoncelle de Dimitri. Quelques mois que je ne les avais pas écoutées. Je ne savais même plus comment ce concerto et cette sonate sonnaient... J’ai même eu peur de n’avoir acheté le disque que pour le tableau de couverture.
Je l’ai mis sur la platine pour en avoir le coeur net... Le disque est celui que j’ai le plus écouté ces deux derniers jours. Quatre ou cinq fois. Magnifique. Hypnotisant. Cinématographique. Passionnant... - oui, aligner des adjectifs est la seule critique dont je suis capable. Je suis désolé...
Il est grand temps que je réécoute mes autres Chostakovitch. J’en ai emprunté d’autres pour les mêmes raisons picturales... et si je les ai achetés, c’est sûrement qu’ils sont tout aussi formidables.
Enfin, si. Je vais faire un aveu. J’emprunte les disques classiques selon quatre critères d’importance variable : le compositeur, l’interprète, l’instrument et la pochette. Étrangement, c’est ce dernier critère qui est le plus souvent déclencheur d’emprunt. Comme si une belle illustration de couverture était la marque d’un bon goût que ne pourrait renier la musique gravée sur le disque.
D’ailleurs comment expliquer autrement que j’ai emprunté du Shostakovich (Chostakovitch en français ?) alors que la seule invocation de ce nom fait retentir à mes oreilles les kitschissimes valses reprises par André Rieu et une vieille pub pour la CNP ? Je pensais d’ailleurs à tort que le tableau utilisé ici comme illustration était de Malevitch - c’est de Heinrich Hoerle.
Cherchant de quel disque parler aujourd’hui, je suis donc retombé sur ces Œuvres pour Violoncelle de Dimitri. Quelques mois que je ne les avais pas écoutées. Je ne savais même plus comment ce concerto et cette sonate sonnaient... J’ai même eu peur de n’avoir acheté le disque que pour le tableau de couverture.
Je l’ai mis sur la platine pour en avoir le coeur net... Le disque est celui que j’ai le plus écouté ces deux derniers jours. Quatre ou cinq fois. Magnifique. Hypnotisant. Cinématographique. Passionnant... - oui, aligner des adjectifs est la seule critique dont je suis capable. Je suis désolé...
Il est grand temps que je réécoute mes autres Chostakovitch. J’en ai emprunté d’autres pour les mêmes raisons picturales... et si je les ai achetés, c’est sûrement qu’ils sont tout aussi formidables.
Cello Concerto Cello Sonata
Dmitri Shostakovich - Emmanuelle Bertrand, Pascal Amoyel, BBC National Orchestra of Wales
BBC / Harmonia Mundi 2013
01-04 - Cello Concerto n°1 op. 107
05-08 - Sonata for Cello and Piano op. 40
09 - Moderato for Cello and Piano
2 commentaires:
As-tu fait le calcul précis pour avancer ce pourcentage?
Voilà un devoir de vacances confinées :)
Calcul précis par la technique dite du « doigt mouillé », technique découverte dans un excellent ouvrage : « La pifométrie pour les nuls ».
Et j’aime pas les devoirs de vacances... qu’est-ce que je les détestais ces p****ns de cahiers de la marque « Passeport »
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