Mercredi, hier (au moment où je rédige les lignes qui suivent), dans ma rage d’avoir écrit un billet pour rien, persuadé d’avoir perdu on ne peut plus bêtement une heure qui aurait pu être mise à profit autrement - ce ne sont pas les occupations et les projets qui me manquent, plutôt les heures - j’ai supprimé d’un clic mon « inutile » post sur Don’t Go Away. Sans réfléchir. Comme un bourrin. Comme un con. Que je suis certainement... Pfff, non je suis pas un bourrin.
Si je m’étais posé davantage, si j’avais pris le temps d’analyser la situation et de réfléchir à ce que je venais de rédiger, je me serais rapidement rendu compte que tout (ou presque) ce que j’avais écrit, moyennant quelques arrangements, coupures et légers ajouts, pouvaient me servir pour un autre disque, un autre billet.
En effet, que disais-je dans ce billet ? Je disais que, parmi mes multiples achats du moment, une partie non négligeable provenait du Japon où j’ai d’ailleurs trouvé un revendeur qui propose des articles en excellent état à un prix défiant toute concurrence - habituellement les éditions japonaises coûtent un bras et un œil et la peau descouilles fesses une fois arrivées en import chez les disquaires européens.
Je demandais ensuite ce que les Japonais avaient fait de spécial pour mériter tel traitement de faveur de la part des groupes anglais et américains. Pourquoi ont-ils (quasi) systématiquement droit à des titres bonus ou, quand ce n’est pas le cas, à des éditions différentes des éditions occidentales, à des éditions toujours plus soignées, avec un livret toujours très fourni avec texte de présentation (certes, en japonais - auquel je ne comprends évidemment rien), intégralité des paroles (sans faute ! ce qui n’est pas toujours le cas des éditions européennes - un comble) et, parfois, des photos supplémentaires...
Je concluais en parlant du Obi. Le Obi c’est une bande de papier qui ceint le côté du boîtier plastique des éditions japonaises - Obi signifie grosso modo ceinture en japonais - dont on peut voir un exemple sur la photo ci-dessus. J’ai perdu ou abimé les Obi des premières éditions japonaises que j’ai achetées... et c’est dommage car le Obi donne de la valeur aux disques de collection. En occasion, un disque sans Obi est revendu moins cher qu’un disque avec Obi...
Tout ceci, je l’ai écrit (différemment, certes) pour Don’t Go Away mais j’aurais pu l’écrire pour Supersonic, édition japonaise du premier single d’Oasis qui réunit 6 des 8 titres présents sur les deux premiers disques européens du groupe, Supersonic et Shakermaker... tant pis pour moi, j’ai dû recommencer (moins bien et en plus succinct) le travail.
En effet, que disais-je dans ce billet ? Je disais que, parmi mes multiples achats du moment, une partie non négligeable provenait du Japon où j’ai d’ailleurs trouvé un revendeur qui propose des articles en excellent état à un prix défiant toute concurrence - habituellement les éditions japonaises coûtent un bras et un œil et la peau des
Je demandais ensuite ce que les Japonais avaient fait de spécial pour mériter tel traitement de faveur de la part des groupes anglais et américains. Pourquoi ont-ils (quasi) systématiquement droit à des titres bonus ou, quand ce n’est pas le cas, à des éditions différentes des éditions occidentales, à des éditions toujours plus soignées, avec un livret toujours très fourni avec texte de présentation (certes, en japonais - auquel je ne comprends évidemment rien), intégralité des paroles (sans faute ! ce qui n’est pas toujours le cas des éditions européennes - un comble) et, parfois, des photos supplémentaires...
Je concluais en parlant du Obi. Le Obi c’est une bande de papier qui ceint le côté du boîtier plastique des éditions japonaises - Obi signifie grosso modo ceinture en japonais - dont on peut voir un exemple sur la photo ci-dessus. J’ai perdu ou abimé les Obi des premières éditions japonaises que j’ai achetées... et c’est dommage car le Obi donne de la valeur aux disques de collection. En occasion, un disque sans Obi est revendu moins cher qu’un disque avec Obi...
Tout ceci, je l’ai écrit (différemment, certes) pour Don’t Go Away mais j’aurais pu l’écrire pour Supersonic, édition japonaise du premier single d’Oasis qui réunit 6 des 8 titres présents sur les deux premiers disques européens du groupe, Supersonic et Shakermaker... tant pis pour moi, j’ai dû recommencer (moins bien et en plus succinct) le travail.
Supersonic
Oasis
Sony 1994
01 - Supersonic
02 - Shakermaker
03 - Columbia (White Label Demo)
04 - Alive (8 Track Demo)
05 - D’Yer Wanna Be A Spaceman ?
06 - I Will Believe (Live)
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