J’ai des frissons en pensant à Love is Here... des frissons d’horreur. Dire qu’en plus, j’aurais pu / dû avoir un second disque des terrifiants Starsailor... je suis au bord de la syncope rien que d’y penser.
Je ne sais plus ce qui me plaisait chez Starsailor. Même les singles, supposés être les morceaux les plus séduisants de l’album, Poor Misguided Fool et Alcoholic, me provoquent aujourd’hui, rien que d’y penser (je n’ai pas pris le risque de les réécouter) de l’urticaire, des problèmes gastriques et des crises d’asthme. Un disque que je ne peux plus supporter.
Je crois avoir, dans un premier temps, apprécié l’album - je ne passe pas mon temps à acheter des disques que je n’aime pas... oups... j’anticipe, vous ne pouvez pas comprendre l’allusion pour l’instant - puis l’avoir détesté d’un coup, soudainement, peu après... J’ai le souvenir d’une remarque acerbe (mais juste) d’un camarade de classe qui avait trouvé le disque nullissime, remarque qui avait peut-être suffi à m’ouvrir les yeux - ou à me vexer, ce qui revient un peu au même... qui a dit susceptible ?
L’achat du disque, à la FNAC Strasbourg, déjà avait été problématique. Un CD promo était offert pour l’achat de Love is Here. Ou bien était-ce un t-shirt. Ou une affiche. Un cadeau, quoi. Dans la limite des stocks disponibles, évidemment. Et quand je l’ai acheté, le disque, les stocks étaient épuisés. Je me rappelle avoir hésité à rendre le disque, me faire rembourser et aller voir ailleurs, au Virgin par exemple, pour essayer d’obtenir ce cadeau, ce second disque (ou ce t-shirt ou cette affiche). J’étais trop timide - euphémisme pour lâche ou trouillard - pour cela. Ce n’est pas plus mal, que ferais-je aujourd’hui de deux disques de Starsailor alors que je ne fais déjà rien du premier ?
Je crois avoir, dans un premier temps, apprécié l’album - je ne passe pas mon temps à acheter des disques que je n’aime pas... oups... j’anticipe, vous ne pouvez pas comprendre l’allusion pour l’instant - puis l’avoir détesté d’un coup, soudainement, peu après... J’ai le souvenir d’une remarque acerbe (mais juste) d’un camarade de classe qui avait trouvé le disque nullissime, remarque qui avait peut-être suffi à m’ouvrir les yeux - ou à me vexer, ce qui revient un peu au même... qui a dit susceptible ?
L’achat du disque, à la FNAC Strasbourg, déjà avait été problématique. Un CD promo était offert pour l’achat de Love is Here. Ou bien était-ce un t-shirt. Ou une affiche. Un cadeau, quoi. Dans la limite des stocks disponibles, évidemment. Et quand je l’ai acheté, le disque, les stocks étaient épuisés. Je me rappelle avoir hésité à rendre le disque, me faire rembourser et aller voir ailleurs, au Virgin par exemple, pour essayer d’obtenir ce cadeau, ce second disque (ou ce t-shirt ou cette affiche). J’étais trop timide - euphémisme pour lâche ou trouillard - pour cela. Ce n’est pas plus mal, que ferais-je aujourd’hui de deux disques de Starsailor alors que je ne fais déjà rien du premier ?
Love is Here
Starsailor
EMI 2001
01 - Tie up my Hands
02 - Poor Misguided Fool
03 - Alcoholic
04 - Lullaby
05 - Way to Fall
06 - Fever
07 - She just Wept
08 - Talk her Down
09 - Love is Here
10 - Good Souls
11 - Coming Down
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