Parmi les groupes que Natacha n’aime pas, il y a Blur, je l’ai déjà dit, même si elle a mis un peu d’eau dans sa téquila Sunrise - on continue le détournement d’expression vineuse - je l’ai déjà dit, aussi.
Pour le coup, avec Think Tank, enregistré sans Graham Coxon (à part un morceau) dernier album de la première période du groupe, celle d’avant la récente reformation, je ne peux lui donner tort. J’ai acheté cet album en sachant que je ne l’aimais pas. Ça vous paraît idiot d’acheter un disque que vous n’aimez pas ? Je vous rassure, à moi aussi... un peu.
Que pensais-je en l’achetant ? Qu’espérais-je ? Apprendre à l’aimer ? Ça arrive parfois. Parfois, un disque (c’est valable aussi pour un livre, un film, toute oeuvre d’art) ne plait pas au premier abord puis, avec le temps, se révèle. On trouve un chemin, un angle d’attaque. On découvre petit à petit. Et, avec le temps, on l’apprécie pleinement, complètement, parfois même plus que certains disques pour lesquels on avait eu un coup de foudre. Ok Computer, par exemple, la première fois que je l’ai entendu, j’ai pensé que c’était de la merde inécoutable.
Si j’ai acheté Think Tank, c’est que j’avais envie, à l’époque, de l’aimer... mais le déclic n’a jamais eu lieu. Et vu que je n’ai pas spécialement envie présentement de me pencher sur son cas, le déclic n’est pas proche d’avoir lieu.
Pour le coup, avec Think Tank, enregistré sans Graham Coxon (à part un morceau) dernier album de la première période du groupe, celle d’avant la récente reformation, je ne peux lui donner tort. J’ai acheté cet album en sachant que je ne l’aimais pas. Ça vous paraît idiot d’acheter un disque que vous n’aimez pas ? Je vous rassure, à moi aussi... un peu.
Que pensais-je en l’achetant ? Qu’espérais-je ? Apprendre à l’aimer ? Ça arrive parfois. Parfois, un disque (c’est valable aussi pour un livre, un film, toute oeuvre d’art) ne plait pas au premier abord puis, avec le temps, se révèle. On trouve un chemin, un angle d’attaque. On découvre petit à petit. Et, avec le temps, on l’apprécie pleinement, complètement, parfois même plus que certains disques pour lesquels on avait eu un coup de foudre. Ok Computer, par exemple, la première fois que je l’ai entendu, j’ai pensé que c’était de la merde inécoutable.
Si j’ai acheté Think Tank, c’est que j’avais envie, à l’époque, de l’aimer... mais le déclic n’a jamais eu lieu. Et vu que je n’ai pas spécialement envie présentement de me pencher sur son cas, le déclic n’est pas proche d’avoir lieu.
Think Tank
Blur
Parlophone 2003
01 - Ambulance
02 - Out of Time
03 - Crazy Beat
04 - Good Song
05 - On the Way to the Club
06 - Brothers and Sisters
07 - Caravan
08 - We’ve Got a File on You
09 - Moroccan Peoples Revolutionary Bowls Club
10 - Sweet Song
11 - Jets
12 - Gene by Gene
13 - Battery in your Leg
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