Pour réunir ma collection de disques d’Oasis, j’ai commencé par chercher tout ce qui était « musical », toutes les chansons, dans les toutes les versions (live, acoustique, démo, remix...) légalement disponibles. C’est après seulement que j’ai continué en cherchant les pochettes alternatives, les éditions différentes, les différents formats, qu’ils contiennent de la musique originale ou non.
Pour les Smashing Pumpkins, je m’y suis pris de la même façon - je suis simplement moins avancé dans ma collecte. Pour Duels, idem. Pour les Stereophonics aussi, même si je me suis arrêté à la première étape au bout de deux albums (et demi) - et ne compte pas poursuivre.
Pour Kula Shaker, au contraire, je prends tout d’un coup, comme ça vient. En fonction des opportunités sur Internet. Des prix intéressants que je trouve. De ce dont disposent en stock les vendeurs qui ont un disque que je vise particulièrement (réduire les frais d’envoi en groupant les achats). J’ai donc déjà acheté des disques de Kula Shaker qui, musicalement, n’avaient que peu d’intérêt par rapport aux disques déjà dans ma collection.
Ma priorité cependant reste de dénicher toutes les faces B - n’oublions pas que Raagy One est la chanson qui a déclenché cette folie acheteuse. Alors quand j’ai appris que le single Shower Your Love - troisième et dernier extrait de Peasants, Pigs & Astronauts - contenait un morceau signé par le seul Jay Darlington (claviériste sosie de George Harrison, qui fit, après son départ de Kula Shaker, les beaux jours des concerts d’Oasis où il hérita, parmi les fans du surnom Jesus (prononcer « Djizeusse »)), le disque devint ma priorité numéro 1.
Je n’ai pas été déçu. Le morceau en question, The Dancing Flea, est une merveille en son genre. Un genre un peu à part ceci dit.
Tous ceux qui l’ont vu se rappellent forcément l’épisode de Friends au cours duquel Ross joue en public ses compositions, se vantant d’avoir découvert « The Sound ». The Dancing Flea n’est pas loin de ressembler à un de ces fameux morceaux de Ross, en un peu plus construit, élaboré. Une ligne de piano évoquant de la musique de saloon sert de liant entre différents bruits d’animaux (vache, cochon, paon...) et de public (applaudissements, rires, exclamations...). Chef d’œuvre décalé.
Ma priorité cependant reste de dénicher toutes les faces B - n’oublions pas que Raagy One est la chanson qui a déclenché cette folie acheteuse. Alors quand j’ai appris que le single Shower Your Love - troisième et dernier extrait de Peasants, Pigs & Astronauts - contenait un morceau signé par le seul Jay Darlington (claviériste sosie de George Harrison, qui fit, après son départ de Kula Shaker, les beaux jours des concerts d’Oasis où il hérita, parmi les fans du surnom Jesus (prononcer « Djizeusse »)), le disque devint ma priorité numéro 1.
Je n’ai pas été déçu. Le morceau en question, The Dancing Flea, est une merveille en son genre. Un genre un peu à part ceci dit.
Tous ceux qui l’ont vu se rappellent forcément l’épisode de Friends au cours duquel Ross joue en public ses compositions, se vantant d’avoir découvert « The Sound ». The Dancing Flea n’est pas loin de ressembler à un de ces fameux morceaux de Ross, en un peu plus construit, élaboré. Une ligne de piano évoquant de la musique de saloon sert de liant entre différents bruits d’animaux (vache, cochon, paon...) et de public (applaudissements, rires, exclamations...). Chef d’œuvre décalé.
Shower Your Love
Kula Shaker
Columbia 1999
01 - Shower Your Love
02 - Sound of Drums (live Radio 1 Session)
03 - The Dancing Flea
04 - Light of the Day
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