Il m’arrive fréquemment d’avoir une chanson en tête en me levant le matin et qu’elle y reste jusqu’à midi voire toute la journée durant. Rarement une bonne. Samedi ou dimanche, je ne sais plus, c’était Seeds of Love de Tears for Fears... nous étions tombés sur le clip, la veille au soir en zappant. C’est souvent pire que ça... j’ai eu, il y a quelques jours du Alain Chamfort - pour ne pas dire du Alliage - aux lèvres pendant toute une matinée... et, dans ce cas, il vaut mieux que je garde mes lèvres closes, si je ne veux pas me faire fusiller du regard par Natacha - elle a les yeux revolver... encore une chanson qu’il m’est arrivé de subir au réveil.
Il y a des jours où j’ai davantage de bonheur avec mon juke box interne. Lundi matin, j’avais The Man who Sold the World en tête - même si je suis bien incapable de dire si c’était du Bowie ou du Nirvana. Je l’ai chantée (chantonnée) toute la matinée, dans les couloirs du bahut et même en classe entre deux moments où je demandais aux élèves de se taire...
Ça ne m’a pas donné envie pour autant de réécouter l’album éponyme de Bowie. J’ai un trop mauvais souvenir de ce disque. Je l’avais acheté sans le connaître - à part la chanson titre. Et j’avais été plus que déçu. Nul. J’ai dû réessayer une ou deux fois. Sans plus de résultat. Je pense que ça fait dix ans au moins que le CD n’a pas rencontré un laser.
Il serait peut-être temps de lui redonner sa chance... mais j’ai déjà tellement de disques en attente.
The Man who Sold the World
David Bowie
EMI 1972 / 1999
01 - The Width of the Circle
02 - All the Madmen
03 - Black Country Rock
04 - After All
05 - Running Gun Blues
06 - Saviour Machine
07 - She Shook me Cold
08 - The Man who Sold the World
09 - The Supermen
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