Depuis quelques années, les albums de Lana del Rey se succèdent à un rythme effréné… et se ressemblent un peu. Disons qu’il n’y a pas d’immense révolution entre deux opus. Juste une évolution, une affirmation d’un style, d’ambiances qui de plus en plus n’appartiennent qu’à Lizzy Grant (de son vrai nom) et qu’elle creuse, polit petit à petit. Ce n’est pas une critique, certainement pas. Car s’il y a une chose qui ne change pas, c’est la qualité de ses disques récents. Chemtrails over the Country Club, NFR! ou Blue Banisters ne sont pas irréprochables… mais sont excellents, rien de moins. Glamour, vaporeux, ambigus. Pop, jazzy avec une touche de hip-hop.
Mon disque de Chemtrails over the Country Club n’est cependant pas le disque que j’ai commandé. Pas l’édition pour laquelle j’ai payé. Je pensais recevoir l’édition normale. J’ai reçu une édition américaine limitée, avec une couverture différente… meilleure que la couverture classique. Les erreurs sont parfois de bonnes surprises.
Chemtrails over the Country Club
Lana del Rey
Interscope 2021
01 - White Dress
02 - Chemtrails over the Country Club
03 - Tulsa Jesus Freak
04 - Let me Love you like a Woman
05 - Wild at Heart
06 - Dark but just a Game
07 - Not All who Wonder are Lost
08 - Yosemite
09 - Breaking up Slowly
10 - Dance till we Die
11 - For Free
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