Je n’avais jamais envisagé de collectionner les disques des Smiths. J’ai probablement déjà toutes leurs chansons - à vérifier si Louder than Bombs et Hatful of Hollow réunissent bien tous les morceaux non présents sur les albums - et mon seul objet « superflu » était jusqu’alors un picture disc de The Queen is Dead.
D’un autre côté, si on me met leurs disques sous le nez, je ne peux pas non plus résister au plaisir de réunir leurs pochettes reconnaissables entre toutes. Il y a eu un très gros arrivage chez Point Show de vinyles des années 80. Du dégueulasse, du classe (autant que peut l’être la musique des eighties), de l’underground et de la réédition en-veux-tu-en-voilà. Dont un paquet de Smiths, je n’en avais jamais vu autant d’un seul coup.
Je ne sais plus où donner de la tête. Je ne sais pas par quoi commencer. Il y a au moins 50 ou 60 disques qui me font envie. Dont la dizaine de singles des Smiths. Alors j’y vais doucement mais régulièrement. Trois disques et un seul Smiths à la fois. Et pas tous les jours. Deux fois par semaine max.
Shakespeare’s Sister est le troisième Smiths que j’ai pris. Et je ne comprends pas pourquoi je ne l’avais pas choisi en deuxième (How Soon is Now ? étant l’indétrônable numéro 1 en l’absence d’une édition de There is a Light That Never Goest Out) tellement c’est bon, face A et faces B.
Shakespeare’s Sister
The Smiths
Rough Trade 1985
A - Shakespeare’s Sister
B1 - What She Said
B2 - Stretch Out and Wait
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