Premier disque acheté cette année. Une réédition vinyle (l’original est de 1968) de Song of Innocence de David Axelrod. Le disque trônait en tête de gondole chez Gibert, couverture difficile à manquer, j’ai regardé de plus près à quoi on avait affaire. Le nom de David Axelrod me disait quelque chose, j’étais certain qu’un disque était chroniqué dans le bouquin de Philippe Robert… mais ce ne devait pas être celui-ci, une telle pochette ça m’aurait marqué (après vérification, c’est sa suite, Song of Experience qui est cité dans le livre).
De quoi s’agit-il ? D’une bande originale. De film ? Non, de poème. William Blake, ceux qui sont familiers du prophète / poète britannique auront reconnu les titres. Sept plages instrumentales conduites, arrangées, produites par Axelrod où se mêlent avec un naturel désarmant jazz, groove, touches psychédéliques, easy listening… ça paraît si facile qu’on se demande pourquoi il n’existe pas davantage d’albums de cette trempe.
Song of Innocence
David Axelrod
Capitol Records 2023
A1 - Urizen
A2 - Holy Thursday
A3 - The Smile
A4 - A Dream
B1 - Song of Innocence
B2 - Merlin’s Prophecy
B3 - The Mental Traveler
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