Envie de découvrir l’univers de Joni Mitchell, chanteuse dont je ne savais rien avant d’acheter un premier disque qui ne pouvait être autre que Mingus, hommage au (Charles est mort six mois environ avant la publication de l’album, en juin 1979) et collaboration avec (il signe les musiques de 4 des 6 morceaux du disque) le génial (contre)-bassiste avec lequel elle avait tissé des liens d’amitié.
Peintures de Joni pour illustrer le gatefold. Extraits d’enregistrements de conversations privées. Mingus est aussi et surtout le journal (intime) d’une relation qui est aussi d’admiration réciproque. Un album qu’on a parfois l’impression de déranger. Avec lequel on a la sensation étrange d’être indiscret. On l’écoute en s’excusant d’être là.
Pour être tout à fait honnête, c’était le seul album disponible (en vinyle d’occasion) de Joni Mitchell chez Point Show… mais s’il y en avait eu d’autres, c’est tout de même celui-ci que j’aurais choisi. Je ne sais en revanche s’il est représentatif de l’œuvre de la chanteuse. Je n’ai pas encore, neuf mois plus tard, acheté d’autres de ses disques.
Mingus
Joni Mitchell
Asylum 1979
A1 - Happy Birthday 1975 (rap)
A2 - God Must be a Boogie Man
A3 - Funeral (rap)
A4 - A Chair in the Sky
A5 - The Wolf that Lives in Lindsey
B1 - I’s a Muggin’ (rap)
B2 - Sweet Sucker Dance
B3 - Coin in the Pocket (rap)
B4 - The Dry Cleaner from Des Moines
B5 - Lucky (rap)
B6 - Goodbye Pork Pie Heat
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