J’ai déjà raconté mes visionnages nocturnes des émissions musicales d’Arte pendant mes vacances à Gneugneucourt Dreslincourt. Cette fois, c’était les Eurockéennes, une espèce de best-of de l’édition de cette année-là, laquelle je ne saurais dire, fin du vingtième siècle. Il y avait Jean-Louis Aubert. Il est filmé juste avant de monter sur scène. Il est dans un état second, très excité. Il a apparemment picolé ou a sniffé quelque chose, il ne tient pas en place, le sourire jusqu’aux oreilles. Un journaliste - disons un intervieweur ; ça existe ce mot ? - lui demande à quoi à qui il pense avant de monter sur scène, aux légendes du rock ? Et le visage du téléphoneur - ça c’est un néologisme barbarisme - s’effondre en un claquement de doigts. En ce moment, je pense beaucoup à Barbara. Le journaliste, déconfit, ne pose pas d’autre question.
Enregistrement Public à l’Olympia
Barbara
Philips ????
A1 - Chapeau Bas
A2 - Fragson
A3 - Quand Ceux qui Vont
A4 - Au Bois de Saint-Amand
A5 - La Musique
A6 - Drouot
B1 - La Mort
B2 - Marienbad
B3 - Les Insmonies
B4 - Il Automne
B5 - Perlimpinpin
C1 - Toi
C2 - Ma Maison
C3 - Mon Enfance
C4 - L’Enfant Laboureur
C5 - À Peine
C6 - À Mourir pour Mourir
C7 - Une Petite Cantate
D1- La Solitude
D2 - Le Soleil Noir
D3 - L’Amour Magicien
D4 - Ma Plus Belle Histoire d’Amour
D5 - Le Mal de Vivre
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