Franchement, vous m'imaginez écouter regarder le Concert du Nouvel An ? écouter Le Beau Danube Bleu ? La Marche de Radetzky ? Très peu pour moi. J'ai horreur de ces niaiseries de la première école viennoise. Je préfère (et de loin) la seconde école viennoise - qui n'a rien à voir ; d'ailleurs pourquoi j'en parle ?
Bref, tant qu'à écouter un morceau un peu kitsch, un peu pompier, qui célèbre le passage à la nouvelle année, qui permette d'ouvrir plein d'espoirs (LOL comme ne disent plus depuis longtemps les jeunes) une nouvelle page, une nouvelle histoire, autant que ça ait de la gueule, autant que ce soit grandiose, voire grandiloquent et optons pour La Symphonie du Nouveau Monde d'Anton Dvořák Je ne suis pas du genre à mentir à mes lecteurs, c'est vraiment le premier morceau que j'ai passé cette année, hier, au réveil, vers 10h30.
J'ai déjà parlé de la Symphonie du Nouveau Monde, par Bernstein, le second chef d'orchestre le plus célèbre du XX°. J'ai donc choisi hier, pour pouvoir écrire ce billet, un autre enregistrement. Cet enregistrement, à la couverture un peu tape-à-l'œil, que j'ai acheté en vinyle pour 2 euros au Facteur Cheval à Versailles, est dirigé par Herbert von Karajan, que tout le monde connaît. Mes impressions sont confirmées : la version de Bernstein me semble meilleure, plus ample, plus puissante, moins tendue. On passe tout de même un bon moment avec Herbert, n'exagérons pas mais il lui manque définitivement quelque chose pour rendre les grands espaces musicaux de la composition du Tchèque avec la même facilité que le Ricain... ça me fait d'ailleurs penser qu'il faut que j'écoute un peu du Bernstein compositeur pour voir ce que ça donne au delà de West Side Story - zut, je suis (encore) hors-sujet.
J'ai déjà parlé de la Symphonie du Nouveau Monde, par Bernstein, le second chef d'orchestre le plus célèbre du XX°. J'ai donc choisi hier, pour pouvoir écrire ce billet, un autre enregistrement. Cet enregistrement, à la couverture un peu tape-à-l'œil, que j'ai acheté en vinyle pour 2 euros au Facteur Cheval à Versailles, est dirigé par Herbert von Karajan, que tout le monde connaît. Mes impressions sont confirmées : la version de Bernstein me semble meilleure, plus ample, plus puissante, moins tendue. On passe tout de même un bon moment avec Herbert, n'exagérons pas mais il lui manque définitivement quelque chose pour rendre les grands espaces musicaux de la composition du Tchèque avec la même facilité que le Ricain... ça me fait d'ailleurs penser qu'il faut que j'écoute un peu du Bernstein compositeur pour voir ce que ça donne au delà de West Side Story - zut, je suis (encore) hors-sujet.
Détail amusant (ou pas), la Symphonie du Nouveau Monde est numérotée sur la couverture du disque comme la n°5 dans l'œuvre de Dvořák (habituellement le n°9 lui est attribué). En revanche sur l'étiquette du disque lui-même, il est écrit Symphonie n°5 (9) aus der neuen Welt.
Symphonie n°5 "du Nouveau Monde"
Anton Dvořák / Herbert von Karajan / Orchestre Philharmonique de Berlin
Deutsche Grammophon 19??
A1 - Adagio - Allegro molto
A2 - Largo
B1 - Molto vivace
B2 - Allegro con fuoco
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