En ces temps coronavirés, posséder des poumons de fer (traduction quasi-littérale pour My Iron Lung - aucune idée si une surprise idiomatique est cachée derrière ce titre) s’avérerait plutôt utile pour résister à la détresse respiratoire promise à qui chopera le covid-19 - suis-je le seul à trouver ce nom plus sexy que coronavirus ?
Comment continuer après une introduction aussi pourrave ?
Tout simplement en rappelant que les débuts de Radiohead, groupe aujourd’hui quasi-intouchable, furent eux aussi bien pénibles... J’ai possédé (deux fois) et revendu (deux fois aussi) un exemplaire de leur premier album, Pablo Honey sur lequel, malgré toute l’indulgence dont je suis capable - assez peu, donc - je n’ai réussi à trouver qu’un seul morceau écoutable de bout en bout (le single archi-connu et un peu trop ressassé Creep) et quelques riffs ou bouts de couplets de-ci de-là pas trop ratés... pas grand chose à s’y mettre sous la dent.
L’e.p. My Iron Lung marque donc pour moi, le vrai début du groupe - il faudra que je me penche un jour sur les singles hors album sortis à l’époque, Pop is Dead notamment - appelé à signer, trois ans après, un chef d’œuvre tel que OK Computer. My Iron Lung c’est la dernière répétition avant le premier grand album du groupe, The Bends (qui contient d’ailleurs le morceau titre), sorti l’année suivante. Une sorte de brouillon. Sur lequel les bases sont jetées, pas encore totalement mises en forme, mais où les idées fortes sont déjà présentes...
Du moins, c’est ainsi que je m’en souviens... car ça fait un bail que je ne l’ai pas écouté, ce disque... Heureusement, le coronavirus va m’offrir quelques jours de vacances inopinées (c’est déjà ça de gagné) : je vais peut-être en profiter pour réécouter quelques disques oubliés de ma discothèque...
Tout simplement en rappelant que les débuts de Radiohead, groupe aujourd’hui quasi-intouchable, furent eux aussi bien pénibles... J’ai possédé (deux fois) et revendu (deux fois aussi) un exemplaire de leur premier album, Pablo Honey sur lequel, malgré toute l’indulgence dont je suis capable - assez peu, donc - je n’ai réussi à trouver qu’un seul morceau écoutable de bout en bout (le single archi-connu et un peu trop ressassé Creep) et quelques riffs ou bouts de couplets de-ci de-là pas trop ratés... pas grand chose à s’y mettre sous la dent.
L’e.p. My Iron Lung marque donc pour moi, le vrai début du groupe - il faudra que je me penche un jour sur les singles hors album sortis à l’époque, Pop is Dead notamment - appelé à signer, trois ans après, un chef d’œuvre tel que OK Computer. My Iron Lung c’est la dernière répétition avant le premier grand album du groupe, The Bends (qui contient d’ailleurs le morceau titre), sorti l’année suivante. Une sorte de brouillon. Sur lequel les bases sont jetées, pas encore totalement mises en forme, mais où les idées fortes sont déjà présentes...
Du moins, c’est ainsi que je m’en souviens... car ça fait un bail que je ne l’ai pas écouté, ce disque... Heureusement, le coronavirus va m’offrir quelques jours de vacances inopinées (c’est déjà ça de gagné) : je vais peut-être en profiter pour réécouter quelques disques oubliés de ma discothèque...
My Iron Lung
Radiohead
Parlophone - EMI 1994
01 - My Iron Lung
02 - The Trickster
03 - Lewis (Mistreated)
04 - Punchdrunk Lovesick Singalong
05 - Permanent Daylight
06 - Lozenge of Love
07 - You Never Wash Up After Yourself
08 - Creep (acoustic)
2 commentaires:
Faut pas confondre télétravail et travail devant la télé (de toute façon, il n'y a plus de sport !). Désolé le jeu de mots est pourri.
CC
Pas si pourri, je cautionne tout à fait...
Enregistrer un commentaire