Here Comes the Sun ? La plus belle - à mon humble avis - des chansons composées par George Harrison pour les Beatles et même simplement une des plus belles chansons du répertoire des Quatre Garçons dans le Vent (c’est fou le nombre d’expressions qui permettent d’éviter la répétition du nom Beatles... oups... répétition).
Here Comes the Sun est-elle le prétexte pour évoquer mon truc pastellisé proposé hier sur Archives ou est-ce le contraire, je ne suis plus bien sûr. C’est en tout cas avec un immense plaisir que je peux évoquer la compilation 1967-1970 des Scarabées (ok, c’est de la triche, ce n’est qu’une traduction de Beatles... oups... nouvelle répétition) plus connue sous le surnom d’album bleu.
Plaisir immense disais-je car l’album bleu fut pour moi (comme pour de nombreux amateurs de rock et pop anglaise) qui ai, jeune adolescent, écouté, étudié en tous sens l’exemplaire de mes parents, une étape décisive dans mon éducation musicale. En effet, si aujourd’hui je peux faire le malin en prétendant qu’à la question Beatles ou Stones ?, il faut répondre Kinks ou, encore mieux, Pretty Things, c’est uniquement parce que je sais que cette question est totalement absurde tant les Fab Four sont inégalables. Et la compilation 1967-1970, bien plus encore que sa jumelle 1962-1966 (l’album rouge) en est la preuve la plus éclatante.
Strawberry Fields Forever qui ouvre le bal est et restera la plus grande chanson pop de tous les temps. Incontestablement. Ou presque. Car A Day in the Life qu’on retrouve quelques plages plus loin est une autre prétendante au titre. Et comme si les deux plus grandes chansons de l’univers ne suffisaient pas, il faut encore considérer la liste de merveilles, perles et autres trésors rassemblés ici : la lysergique Lucy in the Sky with Diamonds, l’absurde I am the Walrus, la déchirante Don’t let me Down, Come Together avec son clavier magique et ses soli de rêves, la planante Across the Universe et, donc, Here Comes the Sun...
Certains ont écrit des pavés sur le rock et la pop, des dictionnaires, des thèses. Certains de ces travaux sont sûrement passionnants. Ils n’en sont pas moins inutiles. Pour plagier Confucius, une chanson vaut mille mots... tout est résumé sur ces deux CD que je n’ai (à ma grande honte) pas achetés : ils appartiennent à Natacha.
Here Comes the Sun est-elle le prétexte pour évoquer mon truc pastellisé proposé hier sur Archives ou est-ce le contraire, je ne suis plus bien sûr. C’est en tout cas avec un immense plaisir que je peux évoquer la compilation 1967-1970 des Scarabées (ok, c’est de la triche, ce n’est qu’une traduction de Beatles... oups... nouvelle répétition) plus connue sous le surnom d’album bleu.
Plaisir immense disais-je car l’album bleu fut pour moi (comme pour de nombreux amateurs de rock et pop anglaise) qui ai, jeune adolescent, écouté, étudié en tous sens l’exemplaire de mes parents, une étape décisive dans mon éducation musicale. En effet, si aujourd’hui je peux faire le malin en prétendant qu’à la question Beatles ou Stones ?, il faut répondre Kinks ou, encore mieux, Pretty Things, c’est uniquement parce que je sais que cette question est totalement absurde tant les Fab Four sont inégalables. Et la compilation 1967-1970, bien plus encore que sa jumelle 1962-1966 (l’album rouge) en est la preuve la plus éclatante.
Strawberry Fields Forever qui ouvre le bal est et restera la plus grande chanson pop de tous les temps. Incontestablement. Ou presque. Car A Day in the Life qu’on retrouve quelques plages plus loin est une autre prétendante au titre. Et comme si les deux plus grandes chansons de l’univers ne suffisaient pas, il faut encore considérer la liste de merveilles, perles et autres trésors rassemblés ici : la lysergique Lucy in the Sky with Diamonds, l’absurde I am the Walrus, la déchirante Don’t let me Down, Come Together avec son clavier magique et ses soli de rêves, la planante Across the Universe et, donc, Here Comes the Sun...
Certains ont écrit des pavés sur le rock et la pop, des dictionnaires, des thèses. Certains de ces travaux sont sûrement passionnants. Ils n’en sont pas moins inutiles. Pour plagier Confucius, une chanson vaut mille mots... tout est résumé sur ces deux CD que je n’ai (à ma grande honte) pas achetés : ils appartiennent à Natacha.
1967-1970
The Beatles
Apple 1993
CD1
01 - Strawberry Fields Forever
02 - Penny Lane
03 - Sgt. Pepper’s Lonely Heart Club Band
04 - With a Little Help from my Friends
05 - Lucy in the Sky with Diamonds
06 - A Day in the Life
07 - All you Need is Love
08 - I am the Walrus
09 - Hello, Goodbye
10 - The Fool on the Hill
11 - Magical Mystery Tour
12 - Lady Madonna
13 - Hey Jude
14 - Revolution
CD2
01 - Back in the USSR
02 - While my Guitar Gently Weeps
03 - Ob-La-Di, Ob-La-Da
04 - Get Back
05 - Don’t Let me Down
06 - The Ballad of John and Yoko
07 - Old Brown Shoe
08 - Here Comes the Sun
09 - Come Together
10 - Something
11 - Octopus’s Garden
12 - Let it Be
13 - Across the Universe
14 - The Long and Winding Road
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