L’an dernier, à la même époque, pendant nos vacances, j’avais fait une petite série sur les disques et groupes que Natacha n’aime pas. L’argument était le suivant : Natacha n’aura pas forcément le temps (ni la connexion nécessaire) en vacances d’aller lire mes conneries sur nos disques alors autant en profiter pour évoquer des disques qui ne l’intéressent pas ou qu’elle ne peut pas supporter. Rebelote cette année, en alternance avec la Crispian Millsérie, histoire de varier les plaisirs... On commence avec Placebo, premier album de... Placebo, groupe particulièrement peu apprécié par ma moitié.
Nous sommes le mardi 21 juillet. Il est 8h30. Je suis en train d’écrire le post sur 22-20s tout en réfléchissant à ce que je vais écrire dans les billets prévus pour les vacances - j’ai déjà choisi une bonne partie des disques qui seront évoqués au cours de ces trois semaines, ne reste qu’à rédiger...
Je ne sais pas trop quoi dire sur Placebo. J’ai plutôt un bon souvenir du disque - ça fait longtemps que je ne l’ai pas écouté - mais j’imagine qu’il a très mal vieilli. Je me décide à le passer - Natacha est partie travailler ;-) - pour trouver l’inspiration en me disant que je vais probablement devoir l’arrêter au bout de 3 ou 4 morceaux.
Surprise, je passe un excellent moment. Vraiment, je suis étonné de trouver le disque aussi sympa. Come Home, Bionic, 36 Degrees, Nancy Boy pour ne citer que les morceaux les plus marquants ont conservé une certaine fraîcheur que je n’espérais pas retrouver, près de 25 ans après la sortie du disque, plus de 20 ans après que je me le suis fait offrir... Les guitares sont fun, la voix de Brian Molko pas si nasillarde que dans mes souvenirs, les chansons rapides alternent bien avec les morceaux plus lents... Il ne faut certes pas y chercher de grandes trouvailles mélodiques (Placebo se positionnait résolument à l’écart voire en opposition avec la Britpop qui triomphait alors) mais est-ce qu’on demande à un disque de post-punk / new-wave post-adolescent ?
Ah, si tous les disques que je n’écoute plus beaucoup étaient aussi bons que celui-ci... je les écouterais plus souvent.
Nous sommes le mardi 21 juillet. Il est 8h30. Je suis en train d’écrire le post sur 22-20s tout en réfléchissant à ce que je vais écrire dans les billets prévus pour les vacances - j’ai déjà choisi une bonne partie des disques qui seront évoqués au cours de ces trois semaines, ne reste qu’à rédiger...
Je ne sais pas trop quoi dire sur Placebo. J’ai plutôt un bon souvenir du disque - ça fait longtemps que je ne l’ai pas écouté - mais j’imagine qu’il a très mal vieilli. Je me décide à le passer - Natacha est partie travailler ;-) - pour trouver l’inspiration en me disant que je vais probablement devoir l’arrêter au bout de 3 ou 4 morceaux.
Surprise, je passe un excellent moment. Vraiment, je suis étonné de trouver le disque aussi sympa. Come Home, Bionic, 36 Degrees, Nancy Boy pour ne citer que les morceaux les plus marquants ont conservé une certaine fraîcheur que je n’espérais pas retrouver, près de 25 ans après la sortie du disque, plus de 20 ans après que je me le suis fait offrir... Les guitares sont fun, la voix de Brian Molko pas si nasillarde que dans mes souvenirs, les chansons rapides alternent bien avec les morceaux plus lents... Il ne faut certes pas y chercher de grandes trouvailles mélodiques (Placebo se positionnait résolument à l’écart voire en opposition avec la Britpop qui triomphait alors) mais est-ce qu’on demande à un disque de post-punk / new-wave post-adolescent ?
Ah, si tous les disques que je n’écoute plus beaucoup étaient aussi bons que celui-ci... je les écouterais plus souvent.
Placebo
Placebo
Elevator Music 1996
01 - Come Home
02 - Teenage Angst
03 - Bionic
04 - 36 Degrees
05 - Hang on to your IQ
06 - Nancy Boy
07 - I Know
08 - Bruise Pristine
09 - Lady of the Flowers
10 - Swallow
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