Je parlais l’autre jour de l’édition japonaise de Supersonic. Le lendemain ou le surlendemain, j’ai passé le disque en question, sans prévenir Natacha. Pour observer sa réaction - elle connaît parfaitement tous les singles européens d’Oasis mais la tracklist de l’édition japonaise avait tout pour la déstabiliser... Elle a effectivement été surprise quand Shakermaker a succédé à Supersonic, m’a regardé d’un air interrogateur mais a vite fait le rapprochement avec le billet publié la veille ou l’avant-veille : c’est une lectrice attentive.
Tellement attentive qu’elle en a profité pour me titiller avec l’histoire des Obi. Elle m’a demandé où pouvaient être les si précieux Obi manquants de mes éditions japonaises. Chez mes parents, lui ai-je répondu, dans une boîte qui se trouve... qui se trouve... ah non, attends, maintenant que j’y pense, cette boîte, je l’ai récupérée, elle est là... Je suis allé fouiller dans un coffre en bois - genre coffre à trésor de pirates que m’avait fabriqué mon grand-père, il y a 30 ans de ça - en ressortit la boîte en question. Deux Obi s’y trouvaient : celui de Songbird et celui de Some Might Say - pour ceux de Don’t Go Away et de Supersonic (je ne parle même pas de celui de Garbage...) il faudra chercher ailleurs.
Tellement attentive qu’elle en a profité pour me titiller avec l’histoire des Obi. Elle m’a demandé où pouvaient être les si précieux Obi manquants de mes éditions japonaises. Chez mes parents, lui ai-je répondu, dans une boîte qui se trouve... qui se trouve... ah non, attends, maintenant que j’y pense, cette boîte, je l’ai récupérée, elle est là... Je suis allé fouiller dans un coffre en bois - genre coffre à trésor de pirates que m’avait fabriqué mon grand-père, il y a 30 ans de ça - en ressortit la boîte en question. Deux Obi s’y trouvaient : celui de Songbird et celui de Some Might Say - pour ceux de Don’t Go Away et de Supersonic (je ne parle même pas de celui de Garbage...) il faudra chercher ailleurs.
Chercher ces Obi m’a permis de dénicher, dans la même boîte, d’autres « trésors ». J’ai ainsi retrouvé des cartes postales (format 12 x 12 cm) offertes avec des singles des Stereophonics - Natacha est heureuse, c’est un de ses groupes « préférés » : on poursuit notre thématique estivale des disques qu’elle abhorre. Il y a 9 cartes en tout. 3 d’entre elles proviennent du CD2 du single Just Looking, extrait du second album des Gallois, Performance and Cocktails.
J’ai toute une pile de singles extraits des deux premiers albums des Stereophonics. Ça doit représenter 10 à 15 disques. J’achetais ça de manière presque automatique à l’époque. Je ne les renie pas mais ne les écoute plus ou très très rarement. Celui-ci est plutôt pas mal avec ses deux versions live acoustiques de morceaux du premier album. Local Boy in the Photograph est un peu trop ralentie par rapport à la version album mais Same Size Feet (chanson à laquelle Noel Gallagher a piqué le riff de basse pour écrire l’affreuse The Hindu Times) gagne plutôt en émotion : c’est par cette version que j’avais appris à apprécier la chanson qui me semblait jusqu’alors un temps faible de Word Gets Around.
Just Looking CD.2
Stereophonics
V2 Music 1999
01 - Just Looking
02 - Local Boy in the Photograph (live Radio 1)
03 - Same Size Feet (live Radio 1)
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