vendredi 6 août 2021

0829 - Mona Bone Jakon


Retour à Versailles. Nirvana en premier sur la platine, pendant qu’on défaisait les valises. Le disque passe mal. Petits sauts. Il est grand temps de changer toute la hi-fi. Ce devrait être le cas dans quelques jours, semaines au maximum.
Tu sais que je suis mardi au bureau, tu peux un peu attendre avant d’écouter tes disques ? Elle plaisante - enfin, elle dit qu’elle plaisante - mais j’entends le message de Natacha. J’écouterai donc Summerwind en solo. Et j’enchaîne avec un autre des six disques achetés à la FNAC Limoges, Mona Bone Jakon de Cat Stevens - sur la pochette duquel on ne fera absolument aucun commentaire.
L’album débute avec Lady D’Arbanville qui est à la fois sa pépite et sa limite. Car le disque est plutôt linéaire, ne s’écarte que peu d’une pop-folk habillée d’une guitare sèche, de quelques discrètes percussions, d’un trait ici ou là de cordes ou de cuivres et de la voix douce de Cat Stevens. Problème, aucune chanson n’arrive à la cheville de l’ouverture, sommet d’écriture mélodique et d’interprétation. C’est agréable, joli. Mais pas renversant non plus.
Soyons honnête tout de même, je n’en suis qu’à une seule écoute… j’ai passé Etta James juste après.

Mona Bone Jakon
Cat Stevens
Island Remasters 2000

01 - Lady D’Arbanville
02 - Maybe You’re Right
03 - Pop Star
04 - I Think I see the Light
05 - Trouble
06 - Mona Bone Jakon
07 - I Wish, I Wish
08 - Katmandu
09 - Time
10 - Fill my Eyes
11 - Lilywhite

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