Partir en vacances - nous retournons une semaine en Normandie samedi prochain - est aussi l’occasion de mettre à jour les playlists des téléphones pour ne manquer de rien lorsqu’on est loin de la maison - à condition de ne pas oublier l’enceinte Bluetooth.
Natacha faisait remarquer qu’il lui manquait beaucoup de Neil Young, que seuls Harvest, On the Beach et Zuma (maudit correcteur orthographique qui a tenté de remplacer Zuma par Zumba) sont encodés. Il va donc falloir passer en mp3 Everybody Knows this is Nowhere, Rust Never Sleep et surtout After the Gold Rush.
After the Gold Rush est le grand frère de Harvest, peut-être légèrement plus sombre, un peu moins grandiloquent (ne pas attendre de sommets symphoniques à la A Man Needs a Maid ou There’s a World) avec des morceaux électriques (When You Dance I Can Really Love, Southern Man), d’autres acoustiques, au piano (After the Gold Rush) ou accompagnés d’un groupe minimaliste (Only Love can Break your Heart). Un titre qui se dégagerait de cette formidable onzaine ? Don’t Let it Bring you Down, la première d’une longue série de ballades irrésistibles que Neil a signées au cours de sa carrière.
After the Gold Rush
Neil Young
Reprise Records 1970 / ????
01 - Tell me Why
02 - After the Gold Rush
03 - Only Love can Break your Heart
04 - Southern Man
05 - Till the Morning Comes
06 - Oh, Lonesome Me
07 - Don’t Let it Bring you Down
08 - Birds
09 - When you Dance I can Really Love
10 - I Believe in You
11 - Cripple Creek Ferry
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