Disons-le - ou plutôt, redisons-le - je n’ai jamais été fan des Arctic Monkeys. Ce que j’en avais entendu ne m’avait pas renversé. Alors que j’adore une grande partie des side-projects d’Alex Turner, que ce soit la bande originale du film indé (à voir, très sympa) Submarine ou les Last Shadow Puppets - enfin essentiellement le premier album, le deuxième, le peu que j’en connais, m’a semblé bien vulgaire.
C’est Natacha qui a voulu qu’on achète le premier album. Après avoir vu (et écouté) le clip When the Sun goes Down ou de Fake Tales of San Francisco, je ne sais plus. Je l’ai donc reçu hier, mardi, ce Whatever People Say I Am, That’s What I’m Not - excellent titre. Un album, il faut le reconnaître, qui propose trois mégas-tubes (les deux chansons précitées ainsi que I bet you look good on the Dancefloor), ce n’est pas si courant. Mes craintes cependant étaient plutôt confirmées… ce disque aux titres de chansons souvent trop longs, est un peu bourrin. Ça cogne sévère, ça joue vite, ça va à cent à l’heure… mais c’est épuisant.
Whatever People Say I Am, That’s What I’m Not
Arctic Monkeys
Domino 2006
01 - The View from the Afternoon
02 - I bet you look good on the Dancefloor
03 - Fake Tales of San Francisco
04 - Dancing Shoes
05 - You Probably couldn’t see for the Lights but you serre Staring straight at Me
06 - Still Take you Home
07 - Riot Van
08 - Red Light Indicates Doors are Secured
09 - Mary Bum
10 - Perhaps Vampires is a bit Strong But…
11 - When the Sun goes Down
12 - From the Ritz to the Rubble
13 - A Certain Romance
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