jeudi 25 juillet 2024

1913 - The Bar at the End of the World

Je ne possède qu’un seul disque de John Mayall. Je ne peux faire mieux beaucoup mieux qu’un renvoi vers un ancien billet pour saluer la mémoire de ce pionnier du blues anglais qui vient de nous quitter.


J’ai acheté The Bar at the End of the World de Lupine Howl peu après The Carnivorous Lunar Activities Of… et l’ai réécouté deux fois aujourd’hui. La première fois en milieu de matinée, la seconde en fin d’après-midi. Pour être certain. Un disque, un album, ça dépend, parfois, du moment où on l’écoute.
Et ma première impression, celle d’il y a quelques mois désormais, est confirmée. Tout y est, les mêmes ingrédients que pour le premier album, les ambiances planantes, les accélérations cosmiques, les guitares psychédéliques… c’est très très bien… mais ça ne fonctionne pas aussi bien… une histoire de magie, d’étincelle… d’innocence peut-être.



Puis le disque avance et je doute de nouveau. Est-ce vraiment moins bon ? N’est-ce pas jouissif, exaltant ? La différence entre les deux albums - Lupine Howl n’en a jamais commis de troisième - n’est-elle pas seulement dans mon esprit ? Cette histoire de magie et d’innocence ne me concerne-t-elle pas davantage que le groupe lui-même ? Si j’avais découvert les deux albums dans l’ordre inverse, ma préférence n’aurait-elle pas aussi été inversée ?

The Bar at the End of the World
Lupine Howl
Beggars Banquet 2002

01 - A Grave to Go To
02 - Don’t Lose your Head
03 - Can You Forgive Me ?
04 - The Pursuit of Pleasure
05 - Gravity’s Pull
06 - Centre of the Universe
07 - Trust Me ?
08 - Signing Off
09 - Burning Stars
10 - All I can Do

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