Pendant que j’écrivais le billet sur U.F.O.F., je me suis passé Greetings from L.A., le dernier album de Tim Buckley que j’ai acheté - il y a un mois et demi, une réédition CD à bas prix, chez Point Show. Enfin… pendant que j’écrivais le billet… le misérable billet sur U.F.O.F. ne m’a pas pris tout le temps (pas bien long pourtant) que dure Greetings from L.A. à écrire. Comme celui sur Greetings from L.A. - celui que vous êtes en train de lire, donc - ne me prends pas 30 minutes à pondre. Bref, il faudrait que je me décarcasse un peu plus, que je me casse le cul davantage… ou pas.
Greetings from L.A., l’album du renouveau pour Tim Buckley après sa formidable période free (Lorca, Starsailor). Il devient funky, presque soul et surtout on le sent habité d’une confiance en lui assez incroyable pour un gars qui a vendu en moyenne 3 exemplaires et de ses opus précédents (j’avais tapé « prédécents », amusant). Alors sa voix fait du yoyo, passe du crooner à l’aigu sans flancher. On sent qu’il s’éclate, qu’il adore ce qu’il fait et qu’il est loin d’avoir tout donné. Les deux albums suivants ont malheureusement assez mauvaise réputation. Et le papa de Jeff est mort trois ans après l’enregistrement de Greetings from L.A.. Overdose - mort naturelle pour plagier Joe dans La Ballade des Dalton.
Greetings from L.A.
Tim Buckley
Warner Bros. Records ????
01 - Move with Me
02 - Get on Top
03 - Sweet Surrender
04 - Nighthawkin’
05 - Devil Eyes
06 - Hong Kong Bar
07 - Make it Right
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