Gros, gros, très gros repas dimanche midi pour l’anniversaire de Natacha. Deux entrées. Plat - qu’on n’a même pas réussi à finir, ça nous a fait des restes pour lundi midi. Fromage. Dessert. Et deux bouteilles liquidées (à deux) pour arroser le tout. Café aussi - juste pour moi. Il était alors 17h ou quelque chose comme ça. Besoin de faire une petite balade digestive.
Ça tombait bien... Natacha avait envie de trouver des enregistrements de La Traviata (comme par hasard) et du Trouvère. C’est donc tout naturellement que nous sommes allés au Facteur Cheval, espérant dénicher des petits frères aux coffrets d’Aïda et de Nabucco dont certains extraits avaient accompagnés le repas.
De Verdi, au Facteur Cheval, il n’y avait point. En tout cas, pas ceux que nous voulions. Natacha s’est tout de même trouvé un joli vase d’un très beau bleu. Et moi, je me suis pris deux vinyles à pas cher. Dont une six ou septième version de La Symphonie du Nouveau Monde... que je n’ai pas encore pris le temps d’écouter. Mais la photo de couverture est plutôt jolie... bien qu’un peu floue. On ne dira jamais assez l’importance de la pochette...
Symphonie n°5 en mi mineur, op. 95 « Du Nouveau Monde »
Anton Dvořák - Ferenc Fricsay - Orchestre Philharmonique de Berlin
Deutsche Grammophon 1960
A1 - Adagio - Allegro molto
A2 - Largo
B1 - Molto Vivace
B2 - Allegro Fuoco
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