Ça sonne un peu comme du U2 par moments. Même le chanteur, des fois, il a des intonations à la Bono.
Et, il faut le reconnaître - même si pour la similarité avec Bono, je vois pas trop - Natacha n’a pas totalement tort. Les Liverpuldiens d’Echo & The Bunnymen, dans leurs moments les plus faibles descendent au niveau du meilleur des Irlandais. Elle aurait pu ajouter que la production parfois légèrement datée partageait les quelques mauvais tics de l’époque, ceux qui parfois pourrissent un peu les merveilles mélodiques des Smiths par exemple.
Sauf que les chansons d’Echo and the Bunnymen sonnent toujours aussi acérées en 2022 et que U2 n’a jamais réussi à sortir un morceau qui emporte tout sur son passage comme The Cutter ou Porcupine - je ne parle même pas de The Killing Moon, sur un autre album. Ok, on me citera One ou With or Without You. D’accord, d’accord. Remballez tout de même votre camelote du pays des Corrs, j’ai envie d’être de mauvaise foi là tout de suite.
Autre album disais-je ? c’est là mon regret. J’ai acheté cette réédition de Porcupine en soldes chez Gibert quelques mois ou plus après avoir acheté celle de Ocean Rain de la même façon. Et en même temps que Porcupine, il y en avait d’autres des Echo and the Bunnymen au même prix avec le même genre de bonus, faces B, versions différentes… et je ne les ai pas achetées. Je suis trop con.
Porcupine
Echo & the Bunnymen
Warner Strategic Marketing 2003
01 - The Cutter
02 - The Back of Love
03 - My White Devil
04 - Clay
05 - Porcupine
06 - Heads will Roll
07 - Ripeness
08 - Higher Hell
09 - Gods will be Gods
10 - In Bluer Skies
11 - Fuel
12 - The Cutter (alternate version)
13 - My White Devil (alternate version)
14 - Porcupine (alternate version)
15 - Ripeness (alternate version)
16 - Gods will be Gods (alternate version)
17 - Never Stop (Discotheque)
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