Sur son (fabuleux) site de photographies (visitez-le ! encore et encore !), Natacha a décidé de donner des titres de chansons à ses différentes galeries. Et ça n'a pas été facile de toutes leur trouver des titres pertinents.
Ce n'est pas pour me vanter mais je suis assez fier de lui avoir soufflé White Winter Hymnal (Cantique pour l'hiver blanc en traduction approximative) des excellents Fleet Foxes (nous avons encore écouté l'album homonyme hier soir et ce matin... sublime) pour ses paysages enneigés (la galerie devrait être complétée sous peu) pour lesquels elle avait pourtant déjà choisi comme titre l'excellente Fox in the Snow de Belle and Sebastian.
Ce n'est pas pour me vanter mais je suis assez fier de lui avoir soufflé White Winter Hymnal (Cantique pour l'hiver blanc en traduction approximative) des excellents Fleet Foxes (nous avons encore écouté l'album homonyme hier soir et ce matin... sublime) pour ses paysages enneigés (la galerie devrait être complétée sous peu) pour lesquels elle avait pourtant déjà choisi comme titre l'excellente Fox in the Snow de Belle and Sebastian.
En revanche, pour ses photos de plage, elle est resté sur son idée de On the Beach, excellente chanson extraite de l'excellent album du même nom de l'excellentissime Neil Young (j'ai réellement une admiration sans discernement pour Neil... même quand il est mauvais - ça lui arrive - il est le meilleur) et a repoussé (à raison puisqu'elle ne connaît pas la chanson) ma proposition d'utiliser Where the Ocean Meets the Eye des Stratford 4, extraite de Love & Distorsion, leur second album.
J'ai découvert les Stratford 4 en 2001 ou 2002 via un lien depuis le site officiel des Black Rebel Motorcycle Club. Les Stratford 4 faisaient partie, comme les BRMC, de cette espèce de galaxie de groupes de la côte Ouest des USA dont les membres ont fait leurs premières armes auprès d'Anton Newcombe et du Brian Jonestown Massacre. J'avais à l'époque échangé quelques mails avec la bassiste du groupe, Sheetal, très sympathique, notamment pout savoir si les albums du groupe seraient distribués en Europe ou si le groupe envisageait des concerts sur le vieux continent...
Ce ne fut jamais le cas... pas de disques sortis en Europe, jamais de tournée, pas même chez les Britons... Le groupe est resté confidentiel aux Etats-Unis, inconnu sous nos contrées. C'est donc avec un grand étonnement que j'ai trouvé en juillet 2003 les deux premiers albums du groupe en import chez Gibert, boulevard Saint Michel, Paris...
C'est toujours un grand plaisir pour un collectionneur de posséder un objet que relativement peu de monde possède (je n'ai aucune idée des chiffres de vente des Stratford 4 outre-Atlantique, ils ne doivent pas être bien élevés, j'ai bon espoir d'être un des seuls en France à avoir leurs disques dans ma discothèque).
C'est un plaisir d'autant plus grand que The Stratford 4 était un bon groupe. Pas un grand groupe, ce n'est pas ce que je prétends mais un groupe capable d'écrire des chansons (ce qui, de nos jours, peut parfois sembler relever du miracle) et de les habiller d'arrangements psyché ou shoegaze, à la manière d'un Spiritualized soft, de Ride ou de Slowdive (je suis d'ailleurs en train d'écouter leur album homonyme, c'est toujours aussi bon). Oui, je suis convaincu que The Stratford 4 méritaient mieux que le silence et l'anonymat...
J'ai découvert les Stratford 4 en 2001 ou 2002 via un lien depuis le site officiel des Black Rebel Motorcycle Club. Les Stratford 4 faisaient partie, comme les BRMC, de cette espèce de galaxie de groupes de la côte Ouest des USA dont les membres ont fait leurs premières armes auprès d'Anton Newcombe et du Brian Jonestown Massacre. J'avais à l'époque échangé quelques mails avec la bassiste du groupe, Sheetal, très sympathique, notamment pout savoir si les albums du groupe seraient distribués en Europe ou si le groupe envisageait des concerts sur le vieux continent...
Ce ne fut jamais le cas... pas de disques sortis en Europe, jamais de tournée, pas même chez les Britons... Le groupe est resté confidentiel aux Etats-Unis, inconnu sous nos contrées. C'est donc avec un grand étonnement que j'ai trouvé en juillet 2003 les deux premiers albums du groupe en import chez Gibert, boulevard Saint Michel, Paris...
C'est toujours un grand plaisir pour un collectionneur de posséder un objet que relativement peu de monde possède (je n'ai aucune idée des chiffres de vente des Stratford 4 outre-Atlantique, ils ne doivent pas être bien élevés, j'ai bon espoir d'être un des seuls en France à avoir leurs disques dans ma discothèque).
C'est un plaisir d'autant plus grand que The Stratford 4 était un bon groupe. Pas un grand groupe, ce n'est pas ce que je prétends mais un groupe capable d'écrire des chansons (ce qui, de nos jours, peut parfois sembler relever du miracle) et de les habiller d'arrangements psyché ou shoegaze, à la manière d'un Spiritualized soft, de Ride ou de Slowdive (je suis d'ailleurs en train d'écouter leur album homonyme, c'est toujours aussi bon). Oui, je suis convaincu que The Stratford 4 méritaient mieux que le silence et l'anonymat...
Pour en revenir aux galeries de photos de Natacha, oui, Untitled aussi est le titre d'une chanson... Quant à Stairway to Heaven, est-il besoin de le préciser ?
Love & Distorsion
The Stratford 4
Jet Set Records 2003
01 - Where the Ocean Meets the Eye
02 - She Married the Birds
03 - 12 Months
04 - The Simple Things are Taking Over
05 - Kleptophilia
06 - Telephone
07 - Tonight Would be Alright
08 - The Story is Over
09 - Tiger Girl
10 - Swim Into It
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