Samedi, hier, fin d’après-midi, 19h environ. Nous allons chez le traiteur grec. Urgent besoin d’Ouzo. Sur le chemin, je dis à Natacha qu’il faut qu’on se dépêche un peu car je n’ai pas commencé à écrire mon article pour Disco du lendemain - le présent article. Tu n’as qu’à écrire un truc rapide sur Razorlight en disant que tu détestes, me répond-elle, ça changera des trucs que je n’aime pas : Björk, les Stereophonics ou l’autre Sidney Barrett ou je sais pas comment elle s’appelle - c’est Courtney Barnett... la Sheryl Crow australienne (c’est devenue son surnom officiel à la maison) ne doit pas être confondue avec l’excellentissime Syd Barrett auquel Natacha n’a strictement rien à reprocher, elle est même fan (sans l’avouer ouvertement) de Bike.
La dernière fois que Natacha a écouté Up All Night, premier opus de Razorlight, c’était jeudi. Elle était seule à la maison - télétravail - pendant que j’allais me soumettre aux pitreries imposées par Manucron et son Blanquer de veau (j’ai pas trouvé mieux, là, tout de suite). Elle venait de lire l’article sur Island Reggae et réalisa soudainement qu’elle pouvait elle aussi profiter de mon absence pour écouter les disques que je n’aime pas - vraiment pas.
J’ai essayé Razorlight. J’ai donné sa chance au groupe de JB. Je suis même allé en concert, à la Maroquinerie, les voir avec Natacha. Je ne déteste pas leur troisième album Slipway Fires. Je n’aime pas mais comprend qu’on puisse apprécier leur deuxième album homonyme. Up All Night, lui, je ne comprends pas. Je déteste cet album. De A à Z. Je n’ai même rien à dire tellement je ne lui trouve aucune qualité. Rien à sauver. Enfin, si... une chose à sauver : Natacha l’apprécie...
Ma... si elle aime ça... comme disait San Marco.
J’ai essayé Razorlight. J’ai donné sa chance au groupe de JB. Je suis même allé en concert, à la Maroquinerie, les voir avec Natacha. Je ne déteste pas leur troisième album Slipway Fires. Je n’aime pas mais comprend qu’on puisse apprécier leur deuxième album homonyme. Up All Night, lui, je ne comprends pas. Je déteste cet album. De A à Z. Je n’ai même rien à dire tellement je ne lui trouve aucune qualité. Rien à sauver. Enfin, si... une chose à sauver : Natacha l’apprécie...
Ma... si elle aime ça... comme disait San Marco.
Up All Night
Razorlight
Mercury 2004
01 - Leave Me Alone
02 - Rock n Roll Lies
03 - Vice
04 - Up All Night
05 - Which Way is Out
06 - Rip it Up
07 - Don’t Go Back to Dalston
08 - Golden Touch
09 - Stumble and Fall
10 - In the City
11 - To the Sea
12 - Fall, Fall, Fall
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