2315 - Excuses for Travellers

Enfin, j’ai trouvé un exemplaire de Excuses for Travellers, troisième album des Mojave 3, le seul du groupe qui manquait encore à ma collection, considéré par certains comme le meilleur de leur discographie, à un prix raisonnable.

Je ne comprends pas les prix affichés par certains vendeurs. Car ça intéresse qui aujourd’hui les disques de Mojave 3 ? À part moi ? Et si moi, je ne suis pas prêt à payer 35 voire 40 euros pour un de leurs albums en occase, qui le sera ? La loi de l’offre et de la demande, dans ce cas ça devrait faire baisser les prix non ? Certes, il n’y a pas eu de réédition de puis plus de vingt ans… mais ce qui est rare (et encore…) n’est pas forcément recherché…

Excuses for Travellers

Mojave 3

4AD 2000 / 20??

01 - In Love with a View

02 - Trying to Reach You

03 - My Life in Art

04 - Return to Sender

05 - When You’re Drifting

06 - Any Day will be Fine

07 - She Broke You so Softly

08 - Prayer for the Paranoid

09 - Bringin’ me Home

10 - Got my Sunshine 

2314 - Tranquility Base Hotel + Casino

J’ai vu une vidéo l’autre jour où un apprenti-critique - exactement ce que j’essaie de ne pas être sur ce blog, sachant que je suis incapable d’être critique ; certains de nombreux billets s’en trouvent de fait vidés de toute substance - qui disait que Tranquility Base Hotel + Casino, avant-dernier album en date des Arctic Monkeys, était le parfait album à écouter en vinyle.

Ce qui est évidemment une énorme connerie car le disque n’a certainement pas été enregistré, mixé, etc. analogiquement… au niveau du son, il n’y a donc aucun intérêt à l’écouter en vinyle. Si c’est le temps nécessaire pour changer de face qui lui parait si essentiel, il existe certainement un bouton pause sur son lecteur CD qu’il peut actionner au milieu de l’album…

Pour ma part, après avoir vu (pas en entier, j’ai arrêté après la première phrase) ladite vidéo, je suis allé m’acheter le CD à la FNAC (en pensant à Spiderland). L’album ressemble fortement à The Car dans la forme mais en plus difficile d’accès, en moins évident. C’est le problème de prendre à rebours la discographie d’un groupe, il y a parfois de belles évolutions qui, en sens inverse, ressemblent à d’inutiles complications.

Tranquility Base Hotel + Casino

Arctic Monkeys

Domino 2018

01 - Star Treatment

02 - One Point Perspective

03 - American Sports

04 - Tranquility Base Hotel + Casino

05 - Golden Trunks

06 - Four out of Five

07 - The World’s First Ever Monster Truck Front Flip

08 - Science Fiction

09 - She Looks like Fun

10 - Batphone

11 - The Ultracheese

2313 - Spiderland

Sur l’arrière de la pochette de certaines éditions CD de Spiderland de Slint, on peut lire : This recording is meant to be listened to on vinyl. Ce n’est malheureusement pas le cas de celle que j’ai acquise il y a quelques mois. C’est dommage, j’aurais adoré un tel CD.

Je ne me souviens plus par quel chemin je suis arrivé à Slint. Était-ce en suivant la trace de David Pajo que je connaissais déjà pour son travail avec Tortoise et Zwan ? Ou était-ce en cherchant les sources du post-rock (le Talk Talk de Spirit of Eden et Laughing Stock, Godspeed You ! Black Emperor, Tortoise - tiens, tiens, encore eux) dont Spiderland est considéré comme l’un des albums fondateurs ?

J’avais écouté l’album emprunté à la médiathèque de Versailles il y a quelques années. N’avais pas aimé. L’ai tout de même commandé au printemps dernier. J’ai bien fait.

Spiderland

Slint

Touch and Go 1991 / ????

01 - Breadcrumb Trail

02 - Nosferatu Man

03 - Don, Aman

04 - Washer

05 - For Dinner…

06 - Good Morning, Captain

2312 - Vanishing Point

Natacha n’est pas ravie que j’ai (re)vu Point Limite Zero (Vanishing Point en VO) il y a une douzaine de jours : au volant, depuis, je me prends pour Kowalski (pas le pingouin). Elle ne peut pas comprendre, elle était allée se coucher dès le début de la rediffusion tévé, épuisée par Driver qui passait en prime time.

Bobby Gillespie est fan lui aussi du film. Beaucoup moins de sa bande originale, trop hippy à son goût. Il a donc entrepris d’enregistrer avec son groupe, Primal Scream, une sorte de bande son alternative, 25 ans après la sortie du film. J’ai trouvé le disque ce mercredi après-midi, d’occasion, état impeccable, chez Point Show. Je ne sais en revanche à quel moment du film passer chaque morceau…

Quant à ceux qui ont raté un virage et fini dans le gravier, il y a une séance de rattrapage ce vendredi sur TCM, 20h50 - ce blog va vraiment finir en programme télé.

Vanishing Point

Primal Scream

Creation Records 1997

01 - Burning Wheel

02 - Get Duffy

03 - Kowalski

04 - Star

05 - If They Move, Kill ‘Em

06 - Out of the Void

07 - Stuka

08 - Medication

09 - Motörhead

10 - Trainspotting

11 - Long Life

2311 - The Man Machine

J’ai acheté The Man Machine le même jour que Autobahn. Sauf à me lancer dans une critique de l’album, ce que je n’ai pas envie de faire, je n’ai pas grand chose de plus à dire. Je ne vais pas tout de même pas rappeler que Natacha déteste Kraftwerk - c’est une prétérition.

The Man Machine

Kraftwerk

Capitol Records 1978

A1 - The Robots

A2 - Spacelab

A3 - Metropolis

B1 - The Model

B2 - Neon Lights

B3 - The Man Machine

2310 - Hymne à l’Amour

La Môme ce soir à la tévé, sur Arte. Enfin, hier soir au moment de la publication de ce billet. Je n’aurai pas regardé - ce n’est pas si souvent qu’on se donne l’occasion d’utiliser le futur antérieur de l’indicatif. Pas plus que je ne regarderai la rediffusion, mercredi ou jeudi en début d’après-midi - voilà que ce blog fait office de programme-tévé. Il y a en effet beaucoup de films que j’ai bien plus hâte de mater. Et je ne suis pas très friand du genre biopic.

Hymne à l’Amour

Édith Piaf

Columbia 1973

A1 - La Vie en Rose

A2 - Les Trois Cloches

A3 - C’est Merveilleux

A4 - Un Refrain Courait dans la Rue

A5 - J’m’en Fous Pas Mal

A6 - Un Homme Comme les Autres

A7 - Le Prisonnier de la Tour (Si le Roi Savait Ça… Isabelle)

B1 - Bal dans ma Rue

B2 - Hymne à l’Amour

B3 - Il Fait Bon t’Aimer

B4 - La Fête Continue

B5 - Le Noël de la Rue

B6 - Padam… Padam…

B7 - Bravo pour le Clown

C1 - Johnny tu n’es pas un Ange

C2 - L’Effet qu’tu m’Fais

C3 - La Goualante du Pauvre Jean

C4 - Sous le Ciel de Paris

C5 - Pour Moi tout’Seule

C6 - C’est à Hambourg

C7 - L’Accordéoniste

D1 - Les Amants d’un Jour

D2 - L’Homme à la Moto

D3 - Comme Moi

D4 - Salle d’Attente

D5 - La Foule

D6 - Je Sais Comment

D7 - Mon Manège à Moi (Tu me Fais Tourner la Tête)

E1 - Milord

E2 - Non, Je ne Regrette Rien

E3 - Mon Dieu

E4 - Les Amants Merveilleux

E5 - Les Mots d’Amour

E6 - Toujours Aimer

E7 - C’est Peut-Être Ça

F1 - Exodus

F2 - Marie Trottoir

F3 - Les Amants

F4 - Le Diable de la Bastille

F5 - À Quoi ça sert l’Amour

F6 - Le Chant d’Amour

F7 - L’Homme de Berlin

2309 - Complete Works Op. 1 - Op. 31

Puisque j’évoquai Webern il y a deux jours…

J’ai acheté le coffret Complete Works Op. 1 - Op. 31 quelques jours après avoir entendu l’opus 10 lors d’un concert à Dijon. Concert inoubliable - même si je ne me rappelle pas le programme hors ladite œuvre d’Anton - puisque la salle, immense, était aux trois quarts vide et que nous avions pu prendre largement nos aises avec Natacha, refusant de nous rapprocher de la scène, au contraire nous en éloignant, choisissant des sièges bien isolés du reste du public, comme au cinéma, pour n’être gênés par (et ne gêner) personne.

L’œuvre entière de Webern peut tenir en trois microsillons prétend Rebatet dans son Histoire de la Musique. Il faut, dans les interprétations choisies ici, plutôt 2 CD et demi (le troisième disque est pour moitié consacré à des transcriptions d’autres compositeurs), ce qui n’est pas beaucoup plus. Webern est en effet un compositeur avare de débordements. Il concentre son art au maximum et même au-delà. Certains ont parlé de lui comme d’un haïkiste.

On comprendra dès lors que pour pleinement apprécier les œuvres rassemblées dans le coffret, il vaut mieux ne pas écouter les CD dans leur intégralité mais sélectionner opus par opus et profiter pleinement de l’extrême richesse de chaque seconde.

Complete Works Op. 1 - Op. 31

Anton Webern

Sony Classical 2013

CD1

01 - Passacaglia für großes Orchester, op. 1

02 - ‘Entflieht auf leichten Kähnen’, op. 2

03-07 - 5 Lieder aus ‘Der siebente Ring’ von Stefan George, op. 3

08-12 - 5 Lieder nach Gedichten von Stefan George, op. 4

13-17 - 5 Sätze für Streichquartett, op. 5

18-23 - 6 Stücke für großes Orchester, op. 6

24-27 - 4 Stücke für Geige und Klavier, op. 7

28-29 - 2 Lieder für mittlere Stimme und acht Instrumente nach Gedichten von Rainer Maria Rilke, op. 8

30-35 - 6 Bagatellen für Streichquartett, op. 9

36-40 - 5 Stücke für Orchester, op. 10

41-43 - 3 kleine Stücke für Violoncello und Klavier, op. 11

44-47 - 4 Lieder für Singstimme und Klavier, op. 12

CD2

01-04 - 4 Lieder für Sopran und Orchester, op. 13

05-10 - 6 Lieder für Singstimme und vier Instrumente nach Gedichten von Georg Trakl, op. 14

11-15 - 5 geistliche Lieder für Sopran und fünf Instrumente, op. 15

16-20 - 5 Kanons nach lateinischen Texten für Sopran und, Klarinette und Baßklarinette, op. 16

21-23 - 3 Volkstexte für Singstimme und drei Instrumente, op. 17

24-26 - 3 Lieder für Singstimme, Es-Klarinette und Gitarre, op. 18

27-28 - 2 Lieder für gemischten Chor und fünf Instrumente aus ‘Chinesisch-deutsche Jahres- und Tageszeiten’ von Goethe, op. 19

29–30 - Streichtrio, op. 20

31-32 - Symphonie, op. 21

33-34 - Quartett für Geige, Klarinette, Tenorsaxophon und Klavier, op. 22

35-37 - 3 Gesänge aus ‘Viae Inviae’ von Hildegard Jone, op. 23

38-40 - Konzert für neun Instrumente, op. 24

41-43 - 3 Lieder für Singstimme und Klavier nach Gedichten von Hildegard Jone, op. 25

CD3

01 - ‘Das Augenlicht’ für gemischten Chor und Orchester, Worte von Hildegard Jone, op. 26

02-04 - Variationen für Klavier, op. 27

05-07 - Streichquartett, op. 28

08-10 - Kantate Nr. 1, Worte von Hildegard Jone, op. 29

11 - Variationen für Orchester, op. 30

12-17 - Kantate Nr. 2, op. 31

18-22 - 5 Sätze für Streichquartett, op. 5, für Orchester Arrangiert

23 - Transcription pour orchestre par A. Webern de la fugue n°2 de ‘L’Offrande Musicale’ de J.S. Bach

24-29 - Deutsches Tänze (F. Schubert) - Transcription pour Orchestre de A. Webern

2308 - Ulysses

Mieux qu’un 45 tours de Ulysses de Franz Ferdinand, chez Point Show, ce mardi 19 août, il avait deux éditions vinyle dudit single. Pure gourmandise de collectionneur.

Et puisque c’est mon frère qui est (fut ?) fan des Franz Ferdinand, bien plus que moi en tout cas, j’en profite pour lui souhaiter un très bon anniversaire.

Ulysses

Franz Ferdinand

Domino 2009

A - Ulysses

B - You Never Go Out Anymore

2307 - Like a Bird or Spirit, Not a Face

Puis de poursuivre par l’expérience chamaniste sublime (et assez extrême) que constitue l’écoute de Like a Bird or Spirit, Not a Face de Sainkho Namtchylak. Après ces trois disques au cours de la matinée, il n’y a que le silence qui peut s’imposer sans paraître ni incongru ni inoffensif. Ou Anton Webern peut-être… mais il est tard déjà, l’heure de déjeuner.

Like a Bird or Spirit, Not a Face

Sainkho Namtchylak

Ponderosa Music & Art 2015

01 - Nomadic Mood

02 - The Road Back

03 - Dushkan Ezim To

04 - So Strange ! So Strange !

05 - Worker Song (Nomads Dance Around the Fire)

06 - Erge Chokka To

07 - Melody in my Heart

08 - Nomadic Blues

09 - The Snow Fall Without You

10 - Nostagia To

2306 - Inde du Nord - Mithila / Chants d’Amour de Vidyapati

Enchaînement de tous les possibles ce jeudi matin pendant que je travaille par à-coups à un ou plusieurs textes - je ne sais même plus où j’en suis réellement, si j’arrive à quelque chose, ce sera une surprise, même pour moi. Orgue des Baléares tout d’abord. Suivi des Chants d’Amour de Vidyapati, album Ocora - par définition excellent à tous points de vue - acheté en même temps que les chants de la secte Tendaï lors d’une bourse aux disques.

Inde du Nord - Mithila / Chants d’Amour de Vidyapati

Vidyapati / Jahawarhal Jha - Ganesh Kant Thakur - Vindya Basini Devi

Ocora 1977

A1 - Ô Gange

A2 - Elle est sortie de sa Maison

A3 - Ô Mère, Écoute

A4 - Je suis Jeune

A5 - Shiva, Comment Traverser l’Océan du Monde

B1 - Ô ma Bien-Aimée

B2 - Ses Cheveux Dénoués

B3 - Un Lotus sans Lac

B4 - Ô Gange

2305 - Don’t Get me Started / Instant Psalm Remixes

À la Fnac aujourd’hui, à la recherche de disques que je sais ne pas pouvoir trouver chez Point Show. Et que j’ai trouvés. Deux compilations telles que je les voulais. Plus ou moins. Sans en être pleinement satisfaits finalement, à l’écoute. Quoique, faut que je réécoute. Mais c’est une autre histoire. Tombé aussi sur un e.p. de remixes de morceaux du dernier album (en date) de The Smile alors que je cherchais à tout hasard s’il n’y avait pas une réédition de Soft Machine II. L’occasion a fait le larron.

À la caisse, je ne sais pourquoi, on me laisse prendre 3 livres gratuits. Des poches normalement offerts pour l’achat d’autres poches de la même collection. Je ne me suis pas fait prier. Avec ce que j’avais acheté la veille, ce que j’avais déjà d’avance et ce que j’ai à relire, j’ai de quoi bouquiner jusqu’à la retraite. Après, je risque de m’ennuyer, faut que je sois prévoyant et que j’en achète quelques autres.

Don’t Get me Started / Instant Psalm Remixes

The Smile

XL Recordings 2025

A - Don’t Get me Started (James Holden remix)

AA - Instant Psalm (Robert Stillman remix)

2304 - Ulysses

Pas plus qu’il y a un an et demi je ne collectionne les disques de Franz Ferdinand. Ou alors pas intentionnellement. Mais quand je trouve un single des années 90-2000, symbole, vestige de la dernière époque bénie pour les collectionneurs de disques comme moi, je peux difficilement résister. Surtout un 45 tours.

Ulysses

Franz Ferdinand

Domino 2009

A - Ulysses

B - Anyone in Love

2303 - In the Aeroplane Over the Sea

Je tombe souvent sur des vidéos de gens qui présentent leur top 10 (ou top 5 / 15 / 20, peu importe) des meilleurs albums de tous les temps. Et la plupart du temps, je trouve que leur top est naze. Non parce que je ne suis pas d’accord - comment pourrais-je être d’accord avec un top 10 qui n’est pas le mien ? - mais soit parce que leur top 10 n’apporte rien (tous les disques sont de gros best-sellers ou des disques qu’on retrouve dans tous les classements des magazines) soit qu’il contient des albums qui, au contraire, sont des grosses merdes par des groupes de merde.

Et puis, il y a des temps en temps, un top 10 intéressant avec des choix audacieux, qui sortent de l’ordinaire. Un de ces top 10 a su retenir mon attention avec son mélange d’albums que j’adore (Loveless notamment) et de disques que je ne connaissais pas ou que de nom et que le gars présentait en quelques mots bien suffisamment choisis pour donner envie d’y jeter une oreille. Il m’a fait acheter trois albums dans la foulée. Dont In the Aeroplane Over the Sea de Neutral Milk Hotel.

In the Aeroplane Over the Sea ne rejoindra probablement jamais mon propre top 10… mais constituait effectivement un manque à ma collection. Il est même très probable que j’achète le précédent album du groupe.

In the Aeroplane Over the Sea

Neutral Milk Hotel

Merge Records 2009

01 - The King of Carrot Flowers Pt. One

02 - The King of Carrot Flowers Pts. Two and Three

03 - In the Aeroplane Over the Sea

04 - Two-Headed Boy

05 - The Fool

06 - Holland, 1945

07 - Communiste Daughter

08 - Oh Comely

09 - Ghost

10 - Untitled

11 - Two-Headed Boy, Pt. Two

2302 - Complete Music for Solo Piano

Avant d’acheter Après Fauré, j’en avais déjà, n’allez pas croire que, du Fauré. Et même l’intégrale de son œuvre pour piano (Complete Music for Piano Solo) enregistrée par Lucas Debargue. Malgré cette photo de couverture repoussante (et des photos de livret pires - heureusement, je ne les ai pas vues avant d’acheter le coffret)… comme c’est souvent le cas en musique classique : les musiciens classiques ont souvent l’air de se croire tellement supérieurs…

Complete Music for Solo Piano

G. Fauré / L. Debargue

Sony Classical 2024

CD1

01-03 - 3 Romances sans Paroles, op. 17

04 - Ballade in F-sharp minor, op. 19

05 - Impromptu n°1 in E-flat major, op. 25

06 - Barcarolle n°1 in A minor, op. 26

07 - Valse-Caprice n°1 in A Major, op. 30

08 - Impromptu n°2 in F minor, op. 31

09 - Mazurka in B-flat major, op. 32

10-12- 3 Nocturnes, op. 33

CD2

01 - Impromptu n°3 in A-flat Major, op. 34

02 - Nocturne n°4 in E-flat Major, op. 36

03 - Nocturne n°5 in B-flat Major, op. 37

04 - Valse-Caprice n°2 in D-flat Major, op. 38

05 - Barcarolle n°2 in G Major, op. 41

06 - Barcarolle n°3 in G-flat minor, op. 42

07 - Barcarolle n°4 in A-flat Major, op. 44

08 - Valse-Caprice n°3 in G-flat Major, op. 59

09 - Valse-Caprice n°4 in A-flat Major, op. 62

10 - Nocturne n°6 in D-flat Major, op. 63

CD3

01 - Barcarolle n°5 in F-sharp minor, op. 66

02 - Barcarolle n°6 in E-flat Major, op. 70

03-14 - Thème et Variations, op. 73

15 - Nocturne n°7 in C-sharp minor, op. 74

16-23 - 8 Pièces Brèves, op. 84

24 - Barcarolle n°7 in D minor, op. 90

25 - Impromptu n°4 in D-flat Major, op. 91

26 - Barcarolle n°8 in D-flat major, op. 96

27 - Nocturne n°9 in B minor, op. 97

CD4

01 - Nocturne n°10 in E minor, op. 99

02 - Barcarolle n°9 in A minor, op. 101

03 - Impromptu n°5 in F-sharp minor, op. 102

04-12 - 9 Préludes, op. 103

13-14 - 2 Pièces, op. 104

15 - Barcarolle n°11 in G minor, op. 105

16 - Barcarolle n°12 in E-flat Major, op. 106

17 - Nocturne n°12 in E minor, op. 107

18 - Barcarolle n°13 in C Major, op. 116

19 - Nocturne n°13 in B minor, op. 119

2301 - Après Fauré

J’aurais plutôt traduit les titres des deux précédents disques du genre précédemment publiés par Brad Mehldau, After Bach et After Bach II par D’Après Bach et D’après Bach II. D’après le dernier en date, Après Fauré, il conviendrait plutôt de traduit par Après Bach et Après Bach II. Ça me parait moins logique… mais, de mon avis, probablement, on s’en fout… et à raison.

Après Fauré

Brad Mehldau

Nonesuch 2024

01 - Nocturne n°13 in B minor, op. 119

02 - Nocturne n°4 in E-flat Major, op. 36

03 - Nocturne n°12 in E minor, op. 107

04 - Prelude

05 - Caprice

06 - Nocturne

07 - Vision

08 - Nocturne n°7 in C-sharp minor, op. 74

09 - Piano Quartet n°2 in G minor, op. 45 : III. Adagio non Troppo (extract)

2300 - Days of the Bagnold Summer

Parmi les B&S récemment acquis, Days of the Bagnold Summer, bande originale d’un film que je ne verrai probablement jamais (où ? comment le verrai-je ? le pourquoi étant : parce que j’en ai la B.O. sur disque et parce que les critiques ont l’air très bonnes) ou alors dans longtemps, par hasard, comme pour Submarine… dont je ne me souviens que peu. Après un instrumental, 10 chansons inédites et 2 nouvelles versions d’anciens titres (I Know Where the Summer Goes et Get Me Away from Here I’m Dying) - versions pas forcément meilleures…

Days of the Bagnold Summer

Belle and Sebastian

Matador 2019

01 - Sister Buddha (intro)

02 - I Know where the Summer Goes

03 - Did the Day Go just like You Wanted ?

04 - Jill Pole

05 - I’ll Keep it Inside

06 - Safety Valve

07 - The Colour’s Gonna Run

08 - Another Day, Another Night

09 - Get Me Away from Here I’m Dying

10 - Wait and See What the Day Holds

11 - Sister Buddha

12 - This Letter

13 - We were never Glorious

2299 - Just for a Day

Comme pour Souvlaki, j’étais super content en recevant la réédition CD de Just for a Day, premier album de Slowdive, agrémentée d’un disque bonus. Puis j’ai regretté ce second disque. J’aurais préféré trouver un à un les e.p. qui s’y sont réunis. Lors d’une convention de disque ou ailleurs. Qu’il reste un peu de magie. Comme ça, c’est trop facile. On profite moins. On se réjouit moins.

Just for a Day

Slowdive

Cherry Red 2010

CD1

01 - Spanish Air

02 - Celia’s Dream

03 - Catch the Breeze

04 - Ballad of Sister Sue

05 - Erik’s Song

06 - Waves

07 - Brighter

08 - The Sadman

09 - Primal

CD2

01 - Slowdive

02 - Avalyn I

03 - Avalyn II

04 - Morningrise

05 - She Calls

06 - Losing Today

07 - Golden Hair

08 - Shine

09 - Albatros

10 - Catch the Breeze (Peel Session 21/4/91)

11 - Shine (Peel Session 21/4/91)

12 - Golden Hair (Peel Session 21/4/91)

2298 - Consolers of the Lonely

Il y a plusieurs raisons possibles derrière l’achat d’un nouveau disque. Parfois, c’est une simple question d’argent.

Consolers of the Lonely, second (sur trois) album des Raconteurs, paru en 2008, faisait partie depuis un bon moment de ma wishlist sur Rakuten. Mais n’était pas vraiment en tête de liste. Et ma wishlist sur Rakuten s’allonge plus rapidement que je n’en retire des disques et des livres à la suite d’achats. En résumé, l’achat de Consolers of the Lonely semblait appartenir à un horizon assez lointain.

En rentrant de vacances, cependant, je me retrouve à devoir écouler mes points fidélité Rakuten sous dix jours sous peine de les perdre. J’ai une dizaine d’euros à dépenser. Je dois acheter quelque chose.

J’ai malheureusement encore des réflexes de pauvre. Et après avoir tant dépensé en hôtels et restaurants, je n’ai pas envie de claquer immédiatement du fric en disques. Je décide donc que je n’ajouterai pas un seul centime de ma poche à la cagnotte. Consolers of the Lonely est un des rares disques que je peux me payer intégralement en points fidélités. Le rapport qualité / prix est en quelque sorte imbattable.

Consolers of the Lonely

The Raconteurs

Third Man Records / Legacy 2021

01 - Consoler of the Lonely

02 - Salute Your Solution

03 - You don’t Understand Me

04 - Old Enough

05 - The Switch and the Spur

06 - Hold Up

07 - Top Yourself

08 - Many Shades of Black

09 - Five on the Five

10 - Attention

11 - Pull this Blanket Off

12 - Rich Kid Blues

13 - These Stones will Shout

14 - Carolina Drama

2297 - Your Funeral… My Trial

J’avais préparé (dans ma tête… je ne fais pas de brouillons pour ce blog… je devrais certainement) un petit texte pour expliquer pourquoi j’avais acheté Your Funeral… My Trial de Nick Cave & The Bad Seeds en vinyle et non en CD. Il s’avère que je me trompais. J’en possède un exemplaire CD (et pas de doublon en vinyle). Ma préparation tombe donc à l’eau. Allo ?

Your Funeral… My Trial

Nick Cave & The Bad Seeds

Mute ????

01 - Sad Waters

02 - The Carny

03 - Your Funeral My Trial

04 - Stranger than Kindness

05 - Jack’s Shadow

06 - Hard On for Love

07 - She Fell Away

08 - Long Time Man

2296 - XO

Dans mon esprit, sur ce blog, il y a trois catégories de disques. Ou trois catégories de billets, question de point de vue. Il y a ceux que j’ai achetés récemment. Ceux que j’ai achetés il y a plus de six mois mais moins de six ans. Et il y a ceux, les seuls que j’estime véritablement légitimes à faire l’objet d’un billet, que je possédais avant de commencer ce blog. Et ces derniers sont de plus en plus rares, fatalement. Il n’y en aura bientôt plus. Continuerai-je à poster chaque jour quand je les aurai tous passés en revue ?

XO d’Elliott Smith fait partie des disques qui étaient déjà dans mes colonnes CD en avril 2019. Probablement acheté en même temps que Figure 8. Ou peu après. Ou peu avant. Incompréhensible que j’ai mis tant de temps à m’acheter From a Basement on a Hill après ça. Et que je n’ai toujours pas Either / Or ou ses deux premiers albums. Car XO est un album plus que formidable. Je l’ai réécouté plusieurs fois au cours de la semaine écoulée. Dont une fois au casque. Pour profiter pleinement des guitares et de la voix.

Conclusion, même quand un disque me paraît plus important que d’autres, je ne réussis pas forcément mieux son billet.

XO

Elliott Smith

DreamWorks Records 1998 / ????

01 - Sweet Adeline

02 - Tomorrow Tomorrow

03 - Waltz #2 (XO)

04 - Baby Britain

05 - Pitseleh

06 - Indepedence Day

07 - Bled White

08 - Waltz #1

09 - Amity

10 - Oh Well, Okay

11 - Bottle Up and Explode !

12 - A Question Mark

13 - Everybody Cares, Everybody Understands

14 - I didn’t Understand

2295 - Meet You at the Jazz Corner of the World (Volume 1)

L’avantage avec les albums d’Art Blakey (avec les Jazz Messengers), c’est qu’on peut les acheter les yeux fermés. L’inconvénient, c’est qu’il en a enregistré plus d’une centaine (sans compter les albums posthumes, live ou studio, ni ceux où il n’est que side-man), ça fait un sacré budget à la fin. Et on aura compris que ce n’est pas la dernière fois qu’on évoque le batteur sur ce blog.

Meet You at the Jazz Corner of the World (Volume 1)

Art Blakey & the Jazz Messengers

Blue Note 1966

A1 - The Opener

A2 - What Know

A3 - The Theme

B1 - ‘Round About Midnight

B2 - The Breeze and I

2294 - Greetings from L.A.

Pendant que j’écrivais le billet sur U.F.O.F., je me suis passé Greetings from L.A., le dernier album de Tim Buckley que j’ai acheté - il y a un mois et demi, une réédition CD à bas prix, chez Point Show. Enfin… pendant que j’écrivais le billet… le misérable billet sur U.F.O.F. ne m’a pas pris tout le temps (pas bien long pourtant) que dure Greetings from L.A. à écrire. Comme celui sur Greetings from L.A. - celui que vous êtes en train de lire, donc - ne me prends pas 30 minutes à pondre. Bref, il faudrait que je me décarcasse un peu plus, que je me casse le cul davantage… ou pas.

Greetings from L.A., l’album du renouveau pour Tim Buckley après sa formidable période free (Lorca, Starsailor). Il devient funky, presque soul et surtout on le sent habité d’une confiance en lui assez incroyable pour un gars qui a vendu en moyenne 3 exemplaires et de ses opus précédents (j’avais tapé « prédécents », amusant). Alors sa voix fait du yoyo, passe du crooner à l’aigu sans flancher. On sent qu’il s’éclate, qu’il adore ce qu’il fait et qu’il est loin d’avoir tout donné. Les deux albums suivants ont malheureusement assez mauvaise réputation. Et le papa de Jeff est mort trois ans après l’enregistrement de Greetings from L.A.. Overdose - mort naturelle pour plagier Joe dans La Ballade des Dalton.

Greetings from L.A.

Tim Buckley

Warner Bros. Records ????

01 - Move with Me

02 - Get on Top

03 - Sweet Surrender

04 - Nighthawkin’

05 - Devil Eyes

06 - Hong Kong Bar

07 - Make it Right

2293 - U.F.O.F.

Trois jours de suite pendant lesquels (j’estime que) je bosse correctement (correctement pas bien ni très bien), ça faisait longtemps que ça ne m’était pas arrivé. J’ai toujours l’impression que je pourrais en faire deux ou trois fois plus, je sais aussi que ce que j’ai produit depuis mercredi, en quantité (voire en qualité), c’est déjà pas mal. Je suis satisfait, c’est déjà pas mal, c’est une belle récompense pour un mal de crâne quasi constant et un mal de dos et de genoux pire encore.

J’ai profité de mon vendredi après-midi aux pastels (sèches) pour me refaire la discographie de Big Thief (du moins les albums que je possède… je n’en ai que 3 sur les 5… sans même compter les albums solo d’Adrianne Lenker) dont U.F.O.F., le dernier en date que j’ai acheté (en janvier dernier). U.F.O.F. comme Masterpiece et Dragon New Warm Mountain I Believe in You est impeccable… et, paradoxalement, me fait craindre pour le nouvel album qui sort à la rentrée. Peur qu’il ne soit pas à la hauteur (et les premières infos - départ d’un membre du groupe, nombre de titres restreint, présence de guests sur l’album - ne me rassurent pas du tout) et que je sois mortellement (!?) déçu.

U.F.O.F.

Big Thief

4AD 2019

01 - Contact

02 - UFOF

03 - Cattails

04 - From

05 - Open Desert

06 - Orange

07 - Century

08 - Strange

09 - Betsy

10 - Terminal Paradise

11 - Jenni

12 - Magic Dealer

2292 - Flowers

Déçu. Trop linéaire. Trop lent. Trop slow. Où sont passés les Make a Change ? Les Morning in America ? Où est passée la flamboyance ? - oui, c’est un néologisme barbarisme.

Ne pas en déduire que Flowers est un mauvais album. Ce n’est pas le cas. Je n’ai même qu’une seule chose à lui reprocher. De ne pas être l’album que j’attendais de Durand Jones & the Indications. Fâché, je retourne aux Delfonics.

Flowers

Durand Jones & the Indications

Dead Oceans 2025

01 - Flowers

02 - Paradise

03 - Lovers’ Holiday

04 - I Need the Answer

05 - Flower Moon

06 - Really Wanna be with You

07 - Been So Long

08 - Everything

09 - Rust and Steel

10 - If Not for Love

11 - Without You

2291 - Trios avec Piano Nos 5 « Les Esprits » et 7 « L’Archiduc », Quatuors à Cordes Nos 15 et 16

Comment enchaîner avec Brassens ? Après avoir écouté pendant deux heures ou quelque chose du genre les Chansons de 1952 à 1956 du Sétois né Cettois, je ne me voyais pas repartir sur du rock, la transition eût été trop rude, même pour moi pourtant habitué à passer d’un genre à l’autre sans ressentir de véritable gêne.

Étonnamment - étrangement ? - il m’a semblé qu’enchaîner avec Beethoven serai moins incongru. Pourquoi, je ne saurais le dire. Justement, il y avait un disque de la collection des Indispensables de Diapason regroupant ses Trios avec Piano nos 5 et 7 et ses Quatuors à Cordes nos 15 et 16 que je ne me rappelais pas avoir acheté et qu’il était grand temps de (re)découvrir.

Reste que la question demeure (ou demeure que la question reste…) : après Beethoven, on met quoi ?

Trios avec Piano Nos 5 « Les Esprits » et 7 « L’Archiduc », Quatuors à Cordes Nos 15 et 16

L. van Beethoven / Trio D. Oistrakh - Trio Busch-Serkin - Quatuor de Hollywood - Quatuor de Budapest

Diapason 2022

CD1

01-04 - Trio avec Piano No 7 en Si bémol Majeur, op. 97 « L’Archiduc » (Trio David Oistrakh)

05-07 - Trio avec Piano No 5 en Ré Majeur, op. 70 n°1 « Les Esprits » (Trio Busch-Serkin)

CD2

01-05 - Quatuor à Cordes n°15 en La mineur, op. 132 (Quatuor de Hollywood)

06-09 - Quatuor à Cordes n°16 en Fa Majeur, op. 135 (Quatuor de Budapest)

2290 - Chansons de 1952 à 1956

Je commençais - de nouveau - à manquer un peu de place pour ranger les disques, notamment les vinyles. Nous avons donc acheté de nouveaux meubles chez Leroy Merlin ce week-end pour contenir les galettes qui trainaient ça et là… et celles qui rejoindront la collection dans les mois qui viennent.

J’ai notamment pu enfin sortir de la caisse en plastique dans laquelle ils étaient stockés depuis quatre ou cinq mois les vinyles de Marie-Claire récupérés après… et j’ai profité de ce mardi après-midi pour commencer à les explorer… je l’ai joué un peu frileux en attaquant par ce dont je suis le plus familier, à savoir Georges Brassens et le coffret Chansons de 1952 à 1956.

Familier, c’est beaucoup dire, j’avais l’impression de ne pas avoir écouté (ni entendu) une chanson de Brassens depuis plus de quinze ans. Et pourtant, les chansons réunies sur cette compilation, j’en connaissais - et connaissais bien, pas vaguement - plus de la moitié… mais n’est-ce pas le cas de tout le monde ? Y a-t-il plus commun pour les Français que Brassens ?

Chansons de 1952 à 1956

Georges Brassens

Philips 1979

A1 - La Mauvaise Réputation

A2 - Le Fossoyeur

A3 - Le Gorille

A4 - Le Petit Cheval

A5 - Ballades des Dames du Temps Jadis

A6 - Hécatombe

B1 - La Chasse aux Papillons

B2 - Le Parapluie

B3 - La Marine

B4 - Corne d’Aurochs

B5 - Il Suffit de Passer le Pont

B6 - Comme Hier

C1 - Les Amoureux des Bancs Publics

C2 - Brave Margot

C3 - Pauvre Martin

C4 - Première Fille

C5 - La Cane de Jeanne

C6 - Je suis un Voyou

D1 - J’ai Rendez-Vous avec Vous

D2 - Le Vent

D3 - Il n’y a pas d’Amour Heureux

D4 - La Mauvaise Herbe

D5 - Le Mauvais Sujet Repenti

D6 - Putain de Toi

E1 - Chanson pour l’Auvergnat

E2 - Les Sabots d’Hélène

E3 - Marinette

E4 - Une Jolie Fleur

E5 - La Légende de la Nonne

E6 - Colombine

F1 - Auprès de mon Arbre

F2 - Gastibelza

F3 - Le Testament

F4 - La Prière

F5 - Le Nombril des Femmes d’Agent

F6 - Les Croquants

2289 - Peasant

En même temps que le Belle and Sebastian, parmi les six disques qui attendaient mon retour de vacances dans la boîte aux lettres, mon second album - et, spoiler, pas le dernier - de Richard Dawson, Peasant.

J’étais plus préparé que pour End of the Middle, j’ai pu savourer dès la première écoute, sans passer par les moments de doute et d’incompréhension. Au contraire, à ma première écoute complète, j’ai eu envie de rire, de pleurer - même si je n’ai pas tout compris aux textes) bien que j’écoutai le disque le livret à la main) de ce concept-album situant ses personnages dans un royaume disparu il y a 1500 ans - d’applaudir, d’acclamer, de commenter, de chanter à tue-tête…

… mais je me suis retenu. Il était huit heures du matin (ou quelque chose comme ça) samedi, Natacha dormait encore, je ne voulais risquer de la réveiller : j’écoutais au casque - c’est son cadeau d’anniversaire, le cadeau qu’elle m’a fait… merci encore ma chérie, je t’aime - profitant de tous les détails, de toutes les trouvailles et d’autres mots en -aille.

Peasant

Richard Dawson

Weird World 2017

01 - Herald (or ‘The Parent’s Crusade’)

02 - Ogre

03 - Soldier

04 - Weaver (or ‘My Very Ancient Friend’)

05 - Prostitute

06 - Shapeshifter

07 - Scientist

08 - Hob

09 - Beggar

10 - No-One

11 - Masseuse (or ‘The Pin of Quib’)

2288 - Mixes of a Lost World

Songs of a Lost World est tellement beau qu’un simple album de remixes ne lui suffit pas. Ni un double album. Ce sera donc un triple CD. Encouragé par ma précédente expérience d’un (triple) album de remixes de The Cure et n’en pouvant plus d’attendre leur nouvel opus - dont on n’a aucune nouvelle… - je n’ai pas hésité à commander Mixes of a Lost World sur le site officiel sans attendre l’une des versions réduites plus faciles à dénicher dans le commerce. Chacune des 8 chansons de l’album original est retravaillée 3 fois. Certaines de ces versions sont réussies, d’autres non. Certaines apportent quelque chose de nouveau, d’autres non. Certains des remixeurs sont bien connus, d’autres moins… mais tout ceci n’est qu’une manière de patienter…

Mixes of a Lost World

The Cure

Polydor / Fiction Records 2025

CD1

01 - I can Never Say Goodbye (Paul Oakenfold ‘cinematic’ remix)

02 - Endsong (Orbital remix)

03 - Drone:Nodrone (Daniel Avery remix)

04 - All I Ever Am (Meera remix)

05 - A Fragile Thing (Âme remix)

06 - And Nothing is Forever (Dany Briottet & Rico Conning remix)

07 - Warsong (Daybreakers remix)

08 - Alone (Four Tet remix)

CD2

01 - I can Never Say Goodbye (Mental Overdrive remix)

02 - And Nothing is Forever (Cosmodelica Electric Eden remix)

03 - A Fragile Thing (Sally C remix)

04 - Endsong (Gregor Tresher remix)

05 - Warsong (Omid 16B remix)

06 - Drone:Nodrone (Anja Schneider remix)

07 - Alone (Shanti Celeste ‘February Blues’ remix)

08 - All I Ever Am (Mura Masa remix)

CD3

01 - I can Never Say Goodbye (Craven Faults rework)

02 - Drone:Nodrone (JoyCut ‘Anti-Gravitational’ remix)

03 - And Nothing is Forever (Trentemøller rework)

04 - Warsong (Chino Moreno remix)

05 - Alone (Ex-Easter Island Head remix)

06 - All I Ever Am (65daysofstatic remix)

07 - A Fragile Thing (The Twilight Sad remix)

08 - Endsong (Mogwai remix)

2287 - Strange House

Strange House, premier album de The Horrors, n’est pas un grand disque. Ce n’est peut-être même pas un bon disque. Pas un vrai bon disque. Surtout si on le compare avec les opus suivants du groupe. Il a des qualités indéniables. Quelques gros défauts aussi. Notamment une production qui insiste sur le côté punk / goth du groupe en le dénuant de beaucoup de subtilité. C’est cependant un album que je suis hyper-fier de posséder et hyper-fier d’avoir acheté peu après sa sortie, il y a 18 ans de ça. Car alors que The Horrors semblait être une caricature, qu’il était très critiqué parmi ceux avec qui je parlais musique, j’ai décelé chez eux les graines d’un excellent groupe, j’avais su voir plus loin, deviner un potentiel qui ne demandait qu’à exploser. Ce qui fut le cas dès l’album suivant.

Voilà en gros ce que j’avais prévu d’écrire sur Strange House… avant d’écouter le disque - oui, il m’arrive parfois, pas toujours, de réécouter les disques que je chronique. Et alors que débutait County in Fives juste après le tonitruant Jack the Ripper d’introduction, je me suis dit que tout ceci, c’était des conneries : Strange House, c’est déjà excellent, quel pied.

Strange House

The Horrors

Loog 2007

01 - Jack the Ripper

02 - Count in Fives

03 - Draw Japan

04 - Gloves

05 - Excellent Choice

06 - Little Victories

07 - She is the New Thing

08 - Sheena is a Parasite

09 - Thunderclaps

10 - Gil Sleeping

11 - A Train Roars

2286 - Girls in Peacetime Want to Dance

Six disques dans la boîte aux lettres. Ça ne console pas vraiment du retour des vacances. Ça ne console pas d’avoir laissé l’océan à deux heures et demie derrière soi. C’est un début tout de même. Un maigre réconfort. Six disques - sans compter le coffret qui m’attendait à la FNAC - j’avais été prévoyant avant de partir, commandes placées au bon moment. Parmi ces six disques attendus pour le retour, Girls in Peacetime want to Dance, un des albums de Belle and Sebastian, que j’ai à rattraper après avoir négligé la discographie post-The Life Pursuit du groupe, le premier que les Écossais ont publié lors de leur retour chez Matador.

Girls in Peacetime Want to Dance

Belle and Sebastian

Matador 2015

01 - Nobody’s Empire

02 - Allie

03 - The Party Line

04 - The Power of Three

05 - The Cat with the Cream

06 - Enter Sylvia Path

07 - The Everlasting Muse

08 - Perfect Couples

09 - Ever Had a Little Faith ?

10 - Play for Today

11 - The Book of You

12 - Today (This Army’s for Peace)

2285 - Credo

J’achète rarement, dans le domaine classique / contemporain un disque pour son interprète. Gould, oui. Pogorelich pourrait. Lubimov et Planès pourquoi pas. Mais ce qui compte davantage pour moi, c’est le programme proposé.

Et là, en terme de programme, Hélène Grimaud propose une sonate de Beethoven et, surtout, une œuvre d’Arvo Pärt. Ajoutez à ça une œuvre d’un compositeur dont je n’avais jamais entendu parler (Corigliano) et un prix très bas, Credo n’est pas resté plus longtemps dans le bac à soldes de la FNAC Parly 2.

Credo

Hélène Grimaud

Deutsche Grammophon 2003

01 - Fantasia on an Ostinato (J. Corigliano)

02-04 - Piano Sonata No. 17 in D minor, op. 31 n°2 « The Tempest » (L. van Beethoven)

05-06 - Fantasia for Piano, Chorus and Orchestra in C minor, op. 80 « Choral Fantasy » (L. van Beethoven - Swedish radio Symphony Orchestra / E.-P. Salonen / Swedish Radio Chor / L. Larsen)

07 - Credo (A. Pärt - Swedish radio Symphony Orchestra / E.-P. Salonen / Swedish Radio Chor / L. Larsen)